Porters unloading humanitarian supplies from the Mi26 helicopter in Jiech, South Sudan. Photo: WFP/George Fominyen
Two United Nations agencies have reached more than half a million people, including 100,000 children under the age of five, in the most remote and conflict-hit areas of South Sudan with life-saving supplies and services.
Using a combination of airdrops and airlifts, the joint emergency mission carried out by the World Food Programme (WFP) and the UN Children’s Fund (UNICEF) delivered food assistance and nutrition supplements, well as health support, learning materials and water, sanitation and hygiene supplies.
Both agencies also provided nutrition screening and treatment, as well as information and messages on nutrition, according to a news release issued today. They also assist with reunification for children who are separated from their families, or unaccompanied.
“These missions reach people who have been fleeing for their lives,” said Jonathan Veitch, UNICEF Representative in South Sudan. “They have lost or left everything behind, and their relief that someone has finally come to help, and not harm, is palpable.”
With support from logistics and telecommunications specialists, the teams provide a lifeline to desperate communities in the three conflict-affected states – Jonglei, Upper Nile and Unity.
The teams stay in each location from 8 to 11 days, carrying all their own supplies, including food, water and tents. Based on their assessment of the needs of the local population, which can be up to nearly 50,000 people per mission, the teams radio for supplies to be delivered by air.
Missions can be delayed by bad weather, which disrupts flights and causes dirt airstrips to flood, and insecurity is a constant challenge, the agencies noted. But once a team has reached an area to establish a humanitarian response, non-governmental partners are frequently able to remain and provide ongoing assistance.
“Our staff deployed across South Sudan, in gruelling and often dangerous conditions, show great determination to serve the people of South Sudan with life-saving food and nutrition assistance,” said Joyce Luma, WFP Country Director in South Sudan.
Of the more than 1.8 million South Sudanese who fled their homes because of the conflict that began in mid-December 2013, over 1.4 million remain displaced within the country. Most are sheltering in remote and hard-to-reach areas, and more than half of them are children.
There are also some 97,000 civilians continuing to receive shelter at UN sites around the country.
The UN Mission in South Sudan (UNMISS) said that more than 9,000 displaced civilians have moved voluntarily from its Tomping Compound in the capital, Juba, to a protection-of-civilians site adjacent to the UN House since it opened in June. The number of uprooted still living in the Tomping site now falls under 4,000.
Yesterday, the Secretary-General’s Special Representative and head of UNMISS, Ellen Margrethe Løj, visited Bor, the capital of Jonglei state, where she met with government officials, including the caretaker governor and community leaders representing some 2,700 displaced people living in UNMISS protection sites outside Bor Town.
This was her third visit to a state capital outside Juba since she took on her position earlier this month.
FRENCH VERSION
Deux organismes des Nations Unies ont atteint plus d’un demi-million de personnes, dont 100.000 enfants de moins de cinq ans, dans les zones les plus éloignées et frappé par le conflit du Sud-Soudan avec les fournitures et les services de sauvetage.
En utilisant une combinaison de parachutages et des ponts aériens, la mission d’urgence menée conjointement par le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Fonds des NU pour l’enfance (UNICEF) a fourni une assistance alimentaire et de nutrition suppléments, ainsi que le soutien de la santé, des matériaux et de l’eau, de l’assainissement et de l’hygiène apprentissage fournitures.
Les deux agences ont également fourni dépistage nutritionnel et de traitement, ainsi que des informations et des messages sur la nutrition, selon un communiqué de nouvelles publié aujourd’hui. Ils aident également à la réunification des enfants séparés de leur famille ou non accompagnés.
«Ces missions atteindre les personnes qui ont fui pour sauver leur vie”, a déclaré Jonathan Veitch, Représentant de l’UNICEF au Soudan du Sud. «Ils ont perdu ou tout laissé derrière eux, et leur soulagement que quelqu’un est enfin venu pour aider, et ne pas nuire, est palpable.”
Avec le soutien de la logistique et des spécialistes des télécommunications, les équipes fournissent une aide essentielle aux communautés désespérées dans les trois États touchés par un conflit – de Jonglei, du Haut-Nil et Unity.
Les équipes restent dans chaque lieu du 8 au 11 jours portant tous leurs propres fournitures, y compris la nourriture, de l’eau et des tentes. Sur la base de leur évaluation des besoins de la population locale, ce qui peut aller jusqu’à près de 50.000 personnes par mission, la radio des équipes de fournitures à livrer par avion.
Les missions peuvent être retardés par le mauvais temps, ce qui perturbe les vols et provoque des pistes de terre à inonder, et l’insécurité est un défi constant, les agences ont noté. Mais une fois qu’une équipe a atteint une zone d’une réponse humanitaire, les partenaires non gouvernementaux sont souvent en mesure de rester et de fournir une assistance continue.
«Notre personnel déployé dans le Sud-Soudan, dans des conditions éprouvantes et souvent dangereuses, preuve d’une grande détermination à servir le peuple du Sud-Soudan avec de la nourriture de sauvetage et d’assistance de la nutrition», a déclaré Joyce Luma, le directeur du PAM au Soudan du Sud.
De plus de 1,8 million de Sud-Soudanais qui ont fui leur foyer en raison du conflit qui a commencé à la mi-Décembre 2013, plus de 1,4 million sont encore déplacées dans le pays. La plupart ont trouvé refuge dans des zones reculées et difficiles à atteindre, et plus de la moitié d’entre eux sont des enfants.
Il ya aussi quelques 97.000 civils continuent de recevoir des abris sur les sites de l’ONU dans le pays.
La Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) a déclaré que plus de 9.000 civils déplacés ont déplacé volontairement de son composé Tomping dans la capitale, Juba, sur un site de protection–civils à côté de la Maison des Nations Unies depuis son ouverture en Juin. Le nombre de déracinés qui vivent encore dans le site Tomping relève maintenant de 4000.
Hier, le Représentant spécial du Secrétaire général et chef de la MINUSS, Ellen Margrethe Løj, visité Bor, la capitale de l’Etat de Jonglei, où elle a rencontré des représentants du gouvernement, y compris les dirigeants gardien de gouverneur et communautaires qui représentent quelque 2.700 personnes déplacées vivant dans les sites de protection de la MINUSS en dehors de la ville de Bor.
C’était sa troisième visite dans une capitale de l’État en dehors de Juba depuis qu’elle a pris sur son poste plus tôt ce mois
