Suspected Boko Haram gunmen launched a series of attacks in Nigeria’s restive northeast on Tuesday, opening fire on troops in one town before raiding a French-owned factory in another, witnesses said.
The violence in Gombe state came just after midday and began with a gunfight at a military checkpoint on the outskirts of Nafada town.
Multiple residents said Islamists overwhelmed the soldiers before entering Nafada where they set fire to a police station, robbed a bank and razed a political party office.
They then drove off in 4×4 trucks and on motorcycles to the town of Ashaka 20 kilometres (12 miles) away, where the French industrial giant Lafarge has a cement plant.
Staff at the Ashaka plant said French nationals were on site at the time of the raid, but there was no firm evidence about their condition, with the security forces and officials in Gombe unavailable to comment.
The twin attacks underscored the worsening security situation in the northeast, where violence has continued at a relentless pace despite government claims of a truce with the Islamist rebels.
FRENCH VERSION
Soupçonné de Boko Haram hommes armés a lancé une série d’attaques dans les rétif nord-est du Nigeria mardi, ouvrant le feu sur les troupes dans une ville avant les raids dans une usine appartenant à des Français dans un autre, des témoins ont dit.
La violence dans l’état de Gombe est venu juste après midi et a commencé par une fusillade à un barrage militaire à la périphérie de la ville de Nafada.
Plusieurs résidents dit Qu’islamistes accablé les soldats avant d’entrer dans la Nafada où ils mis le feu à un poste de police, a dévalisé une banque et rasèrent un bureau de parti politique.
Ils ensuite repartis en 4×4 camions et sur des motos à la ville de Ashaka 20 kilomètres (12 milles), où le Français Lafarge géant industriel possède une usine de ciment.
Le personnel de l’usine Ashaka dit ressortissants Français étaient sur place au moment du raid, mais il n’y n’avait aucune preuve sur leur condition, avec les forces de sécurité et les fonctionnaires à Gombe pas disponible pour commenter.
Les attaques de jumeaux a souligné l’insécurité qui s’aggrave dans le nord-est, où la violence a continué à un rythme implacable malgré les affirmations du gouvernement d’une trêve avec les rebelles islamistes.