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December 18, 2024
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Tensions simmer in protest-hit Gabon capital // Tensions mijotent Dans La Capitale Du Gabon Protestation-Hit

The opposition coalition has accused the government of mobilising special units to squash the demonstrations [AFP]
Gabon’s government has moved to reduce simmering tensions in the capital Libreville, a day after three people reportedly died in a demonstration against President Ali Bongo Ondimba.

The public protector said on Sunday that one person – a 30 year old male student had died – contradicting an opposition coalition’s toll of three deaths following clashes with security forces the previous day.

Guy Bertrand Mapangou, the country’s interior minister, told a news conference that the student “had died outside the scene of the protests”.

“An investigation has been launched by the prosecutor of the Republic to determine the circumstances of this tragedy,” he said.

In response to a peaceful demonstration… the head of state mobilised special units of the gendarmerie and the police and directed the weapons of the republic against peaceful, unarmed Gabonese.

Opposition statement.

The opposition had called for a new protest on Sunday afternoon but there were no signs of a gathering as security forces fanned out across the coastal city.

Hundreds had gathered on Saturday at Libreville’s Rio Intersection for a rally that had been outlawed by the interior ministry the day before.

“Ali, get out! 50 years is too long!” the crowd chanted.

Security forces were out in large numbers to prevent hundreds of demonstrators from gathering at the intersection.

The opposition coalition accused the government of mobilising special units to squash the demonstrations.

“In response to a peaceful demonstration… the head of state mobilised special units of the gendarmerie and the police and directed the weapons of the republic against peaceful, unarmed Gabonese,” the opposition statement said.

“We have already recorded three deaths, many serious injuries and numerous arrests,” it said, condemning “killings committed in cold blood and [with] live ammunition”.

There was no independent confirmation of the death toll claimed by the opposition.

The country’s interior minister said many members of the security forces had been injured, adding there had been widespread destruction with shops looted and vehicles damaged.

“About 100 people, including 90 Gabonese nationals and 10 foreigners” were arrested on Saturday, he said. “Some were carrying knives, or jerry cans of petrol and others were visibly under the effect of drugs.”

The political climate in Gabon worsened recently with the publication of a book by French journalist Pierre Pean that accuses the president of having falsified his birth certificate and diplomas.

 

FRENCH VERSION

Gouvernement du Gabon a été déplacée à réduire les tensions qui mijote dans la capitale Libreville, un jour après la mort de troispersonnes auraient été, à une manifestation contre le PrésidentAli Bongo Ondimba.

 

Le protecteur public dit sur la personne de dimanche que l’un un étudiant âgé de 30 an est mort contredisant le péage de lacoalition de l’opposition de trois morts suite à des affrontementsavec les forces de sécurité la veille.

 

Guy Bertrand Mapangou, ministre de l’intérieur du pays, a déclaréà une conférence de presse que l’étudiant “était mort en dehorsde la scène des protestations”.

 

« Une enquête a été lancée par le procureur de la Républiquepour déterminer les circonstances de cette tragédie, » dit-il.

 

En réponse à une manifestation pacifique le chef de l’Etat amobilisé des unités spéciales de la gendarmerie et la police et lesarmes de la République contre Pacifique et non armée gabonaisedirigée.

 

Déclaration de l’opposition.

 

L’opposition avait appelé à une nouvelle manifestation dimancheaprès-midi mais il n’y a aucun signe d’un rassemblement commeles forces de sécurité sont déployées dans toute la ville côtière.

 

Des centaines s’étaient rassemblés samedi à Rio Intersection du Libreville pour un rassemblement qui avait été interdite par leministère de l’intérieur la veille.

 

“Ali, get out ! 50 ans est trop long!”a scandé la foule.

 

Les forces de sécurité étaient sortis en grand nombre pourempêcher des centaines de manifestants de rassemblement àl’intersection.

 

La coalition de l’opposition a accusé le gouvernement de mobiliserles unités spéciales d’écraser les manifestations.

 

« En réponse à une manifestation pacifique le chef de l’Etat amobilisé des unités spéciales de la gendarmerie et la police et lesarmes de la République contre Pacifique et non armée gabonaise,dirigée » indique le communiqué de l’opposition.

 

« Nous avons déjà enregistré trois morts, plusieurs blessés graveset nombreuses arrestations, » il a dit, condamnant les « meurtrescommis de sang froid et [avec] des balles réelles ».

 

Il n’y n’avait aucune confirmation indépendante du tribut réclamépar l’opposition.

 

Ministre de l’intérieur du pays, a déclaré de nombreux membresdes forces de sécurité avaient été blessés, ajoutant il y avait eudes dégâts considérables avec des magasins pillés et des véhiculesendommagés.

 

« Une centaine de personnes, dont 90 ressortissants gabonais et10 étrangers » ont été arrêtée samedi, a-t-il dit. « Certainsportaient des couteaux, ou bidons d’essence et d’autres étaientvisiblement sous l’effet de la drogue ».

 

Le climat politique au Gabon s’est récemment aggravée avec lapublication d’un livre du journaliste Français Pierre Péan quiaccuse le Président d’avoir falsifié son acte de naissance et lesdiplômes.

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