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November 24, 2024
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Hopes rise Egypt will free Peter Greste // Espère Que Montée Egypte Libérera Peter Greste




  • Activists in the UK and the Netherlands have rallied in support of journalists imprisoned in Egypt. (AAP)
 Hopes are rising that Egypt’s highest court will free three Al Jazeera reporters, including Peter Greste, when they hear the appeal against their sentences.
Expectations are growing that three jailed Al Jazeera journalists, including Australian Peter Greste, will be released within days amid a thawing of Cairo’s ties with Qatar, the channel’s base.

An appeal is to be heard by Egypt’s top court on Thursday for Greste, Egyptian-Canadian Mohamed Fahmy and Egyptian Baher Mohamed of the satellite news broadcaster’s English service.

They were arrested in December 2013 in a case that triggered global outrage.

Greste and Fahmy each got seven years, and Mohamed was jailed for 10.

In June, the reporters, who authorities say lacked proper accreditation, were jailed for aiding the blacklisted Muslim Brotherhood and spreading “false information” after the army ousted Islamist president Mohamed Morsi in July 2013.

The Brotherhood, which saw great electoral success after the fall of long-time leader Hosni Mubarak in 2011, has since been declared a “terrorist organisation” in Egypt.

“The Court of Cassation could order a retrial, issue a new verdict or acquit the defendants,” said Fahmy’s defence lawyer Negad al-Borai, adding that the appeal could even be dismissed.

The three, who on Monday completed one year in prison, could also be freed on bail if a retrial is ordered, he said.

Australian Foreign Minister Julie Bishop on Monday downplayed speculation of a release, saying there had been mixed signals from Egyptian authorities.

Greste’s parents told ABC in Australia they were hopeful the three would soon be released, saying they had “confidence in the integrity of the Egyptian appeals system”.

Rallies in support of the three were held in London and The Hague on Monday.

Al Jazeera’s appeal cited “flaws in the arrest procedure” and “the fact that evidence presented in court did not marry with the charges”.

Thursday’s hearing comes as ties between Qatar and Egypt improve following mediation by Saudi Arabia, a key Sisi backer.

Last month, Qatar joined its Gulf neighbours in supporting Egypt under Sisi in an attempt to end Doha’s regional isolation over its backing for the Brotherhood.

And on December 20 Cairo told a Qatari envoy it was ready for a “new era” with Doha, as the emirate offered its “full support” to Sisi.

Two days later, Al Jazeera announced the surprise closure of its Egyptian channel, which had consistently criticised Cairo since Morsi’s ouster.

“The warming of Cairo-Doha relations could be a consideration in influencing the judge’s decision on Thursday,” said Mustapha Kamel Al-Sayyid, professor of political science at the University of Cairo.

“No one can be sure, but it is quite likely the final result will be the release of the journalists. How and when that happens is another issue,” H.A. Hellyer of the Centre for Middle East Policy at the Brookings Institution in Washington told AFP.

Sisi himself has said he would have preferred the journalists had been deported rather than tried.

FRENCH VERSION

Attentes sont de plus en plus que les trois journalistesemprisonnés d’Al Jazeera, dont l’australien Peter Greste, sortiradans les jours suivant au milieu d’un dégel des liens du Caire avecQatar, base de la chaîne.

Un appel doit être entendu par la Cour supérieure de l’Egyptejeudi pour Greste, canado-égyptiennes Mohamed Fahmy etMichael Ballack égyptien Mohamed de service du radiodiffuseursatellite news en anglais.

Ils ont été arrêtés en décembre 2013, dans une affaire qui a déclenché l’indignation mondiale.

Greste et Fahmy ont chacun obtenu sept ans, et Mohamed a étéemprisonné pour 10.

En juin, les journalistes, qui disent que les autorités n’avaient pasd’accréditation appropriée ont été emprisonnés pour avoir aidédes frères musulmans sur la liste noire et diffusion de « faussesinformations » après que l’armée a renversé islamiste PrésidentMohamed Morsi en juillet 2013.

La confrérie, qui a vu le grand succès électoral après la chuted’Hosni Mubarak leader de longue date en 2011, a depuis étédéclarée « organisation terroriste » en Egypte.

« La Cour de Cassation pourrait ordonner un nouveau procès,rendre un verdict de nouveau ou acquitter les accusés, » a déclarédéfense avocat Negad al-Borai de Fahmy, ajoutant que l’appelpourrait même être rejeté.

Les trois, qui lundi a complété une année de prison, pourraientégalement être libérés sous caution, si un nouveau procès estordonné, dit-il.

Ministre des affaires étrangères australien Julie Bishop surspéculation lundi de minimiser la portée d’un communiqué, disantil avait été mélangée signaux des autorités égyptiennes.

Les parents de Greste dit ABC en Australie, ils espéraient que lestrois seraient bientôt libérés, disant qu’ils avaient « confiance dansl’intégrité du système égyptien d’appels ».

Rallyes pour soutenir les trois ont eu lieu à Londres et la Hayelundi.

Appel de Jazeera a cité “défauts dans la procédure d’arrestation”et “le fait que la preuve présenté au Tribunal ne se mariage pasavec les accusations”.

Audience de jeudi intervient alors que les liens entre le Qatar etl’Egypte s’améliorent après médiation par l’Arabie saoudite, unbailleur de fonds clé Sisi.

Le mois dernier, le Qatar a rejoint ses voisins du Golfe poursoutenir l’Egypte sous Sisi dans une tentative pour mettre fin àisolement régional de Doha au cours de son soutien de lafraternité.

Et le 20 décembre au Caire a dit un émissaire Qatari que c’étaitprêt pour une « ère nouvelle » avec Doha, comme l’émirat aofferte son « plein soutien » à Sisi.

Deux jours plus tard, Al Jazeera a annoncé la fermeture de lasurprise de sa chaîne égyptienne, qui avait toujours critiqué le Caire depuis l’éviction de Morsi.

« Le réchauffement des relations entre le Caire-Doha pourrait êtreune considération pour influencer la décision du juge jeudi, » a déclaré Mustapha Kamel Al-Sayyid, professeur de sciencespolitiques à l’Université du Caire.

“Personne ne peut être sûr, mais il est fort probable que lerésultat final sera la libération des journalistes. Comment et quandcela se produit est une autre question,”H.A. Hellyer du Centrepour la politique au Moyen-Orient à la Brookings Institution àWashington à l’AFP.

Sisi lui-même a dit qu’il aurait préféré les journalistes avaient étédéportés au lieu d’être essayés.




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