The Freedom Ride brought unprecedented media attention to racism against Aboriginal people in Australia, writes Myles Morgan.
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This week is the 50th anniversary of the momentous Freedom Ride that journeyed through western New South Wales in February 1965 to draw attention to injustice and discrimination against our First Peoples of Australia.
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It’s been 50 years since students from the University of Sydney embarked on a historic Freedom Ride through western New South Wales. The bus is heading west again to honour the legacy of the original movement.
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Fifty years ago this month, a young Indigenous activist set out from Sydney with about 30 others on a two week tour to expose endemic racism, segregation and the appalling living conditions for Aboriginal people in rural New South Wales.
Freedom Ride (Australia) In 1965 he was one of the key members of the Freedom Ride – a bus tour through New South Wales by activists protesting discrimination against Aboriginal people in small town Australia. This action was inspired by the US Civil RightsFreedom Ride campaign in 1961. The Australian Freedom Ride aimed to expose discrepancies in living, education and health conditions among the Aboriginal population. The tour targeted rural towns such as Walgett, Moree, and Kempsey. They acted to publicise acts of blatant discrimination. This was demonstrated through one of the Freedom Ride activities in Walgett. A local RSLclub refused entry to Aborigines, including those who were ex-servicemen who participated in the two World Wars. At one stage during the Rides, the protesters’ bus was run off the road.
On 20 February 1965, Perkins and his party tried to enter the swimming pool at Moree, where the local council had barred Aboriginal people from swimming for 40 years since it had been opened. In response to this action the riders faced physical opposition from several hundred local white Australians, including community leaders, and were pelted with eggs and tomatoes. These events were broadcast across Australia, and under pressure from public opinion, the council eventually reversed the ban on Aboriginal swimmers. The Freedom Ride then moved on, but on the way out they were followed by a line of cars, one of which collided with the rear of their bus forcing them to return to Moree where they found that the council had reneged on their previous decision. The Freedom Riders protested again forcing the council to again remove the ban.[8 FRENCH VERSION
2015 marque le 50e anniversaire de la course de la liberté. Dirigépar le militant autochtone Charles Perkins, la tournée de 1965attiré l’attention médiatique sans précédent au racisme contre lespeuples autochtones en Australie.
Par SBS
Fiche d’information : 1965 Freedom Ride se réveilla nation auracisme
Le tour de la liberté attiré l’attention médiatique sans précédentsur le racisme contre les peuples autochtones en Australie, écritMyles Morgan.
Explicateur : Quel était le tour de la liberté de l’Australie ?
Cette semaine est le 50e anniversaire de la course de la libertémémorable qui a voyagé à travers l’ouest de la Nouvelle-Gallesdu Sud en février 1965 à attirer l’attention sur l’injustice et ladiscrimination à l’égard de nos premiers peuples de l’Australie.
50e anniversaire de la liberté de l’attraction marquée àl’Université de Sydney
Depuis 50 ans les étudiants de l’Université de Sydney s’est lancédans un tour historique de liberté à travers l’ouest de laNouvelle-Galles du Sud. Le bus est vers l’ouest à nouveau àl’honneur l’héritage du mouvement original.
50e anniversaire de la course de la liberté
Il y a cinquante ans ce mois-ci, une jeune militante autochtone aquitté Sydney avec une trentaine d’autres sur une tournée dedeux semaines pour exposer les conditions de vie déplorablesdes autochtones dans les régions rurales de la Nouvelle-Gallesdu Sud, la ségrégation et le racisme endémique.
Freedom Ride (Australie) en 1965 il a été l’un des membres clésde la course de la liberté – un tour en bus à travers de laNouvelle–Galles du Sud par les militants pour protester contre ladiscrimination à l’égard des peuples autochtones dans la petiteville de l’Australie. Cette action a été inspirée par la campagnenous droits civils Freedom Ride en 1961. Le tour de la libertéaustralienne visant à exposer les divergences dans les conditionsde vie, de l’éducation et de santé parmi la populationautochtone. La tournée ciblée des villes rurales telles que Walgettet Moree Kempsey. Ils ont agi pour faire connaître les actes dediscrimination flagrante. Cela a été démontré par l’intermédiairede l’une des activités de Walgett Freedom Ride. Un club local deRSL refoulées aux aborigènes, y compris ceux qui étaientd’anciens militaires qui ont participé aux deux guerres mondiales.À un moment donné pendant les randonnées, les autobus lesmanifestants a été exécuté hors de la route.
Sur 20 février 1965, Perkins et son parti a essayé d’entrer dans lapiscine à Moree, où la mairie avait interdit les peuplesautochtones de la natation depuis 40 ans depuis qu’il avait étéouvert. En réponse à cette action, les coureurs fait face à uneopposition physique de plusieurs centaines australiens blancslocales, y compris les dirigeants de la communauté et ontbombardé avec des oeufs et des tomates. Ces événements ont été diffusés dans toute l’Australie, et sous la pression de l’opinionpublique, le Conseil éventuellement renversé l’interdiction desnageurs autochtones. Le tour de la liberté puis s’installe sur, maisen voie de disparition qu’ils ont été suivis par une file de voitures,dont une est entré en collision avec l’arrière de leur bus,obligeant à retourner à Moree, où ils ont trouvé que le Conseilavait renié leur décision antérieure. Les coureurs de la liberté a protesté forçant à nouveau au Conseil de supprimer à nouveaul’interdiction.
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