Education Cabinet Secretary Jacob Kaimenyi yesterday met with university chancellors to discuss the quality of higher education in the country. The meeting hopefully will be followed by concrete plans to improve the quality of education being offered at our universities. A lot has been said about the issue already.
The discussion should not be about reinventing the wheel. Some of the problems facing the universities like poor infrastructure, poorly equipped libraries, fewer lecturers in relation to student populations, student unrest and lack of adequate funding from the Government are all too obvious.
A paucity of funds has seen many universities fail to invest in research work, which should help in raising the quality of courses on offer. It is inconceivable that Engineering and Medicine students can go through their courses with limited access to well-equipped workshops and laboratories and yet be expected to perform well in the field once they graduate from university.
Middle level colleges like polytechnics and technical institutes that equipped thousands of students unable to make it to university with vocational training were phased out in a stampede for university constituent colleges. This has put a strain on universities who must absorb the thousands in need of a higher education. See also: Schools continue to charge high fees despite tough talk from CS Kaimenyi Most universities are compelled to bridge the funding gap by admitting greater numbers of students on parallel courses that range from certificate, diploma to degree.
The danger is that apart from an apparent lack of facilities conducive to learning, they compromise on the quality of the education they offer. Cases of colleges selling certificates to individuals who have not attended classes have been reported. Often, the graduates are ill-equipped to handle the challenges in the fields they purportedly trained for once in active employment.
There are thousands of intellectually empowered Kenyans desperately roaming the streets in search of jobs because what they trained for has no relevance on the job market. It therefore behoves the Government to come up with methodologies that can better the quality of higher education on offer at universities and colleges. One way of doing this is by controlling and regulating the colleges.
The courses offered must adhere to an approved curriculum and all colleges must be accredited.
Skimping on research is not an option. Funding for universities to facilitate research must be improved. One other way of improving standards is by partnering with universities in Europe, Asia, Africa and the Americas for bench-marking. Students joining universities need proper guidance on the choice of courses that are relevant to the job market.
The re-establishment of middle-level colleges will go a long way in lessening the strain on the main universities which should concentrate on offering degree courses. The higher education system appears to lay emphasis on white collar jobs. That needs to change. To minimise on time lost during strikes, university management and students need to dialogue more.
FRENCH VERSION
La discussion ne devrait pas être sujet de réinventer la roue.Certains des problèmes rencontrés par les bibliothèques desuniversités comme une infrastructure médiocre, mal équipées,moins chargés de cours en ce qui concerne les populationsétudiantes, agitation estudiantine et manque de financementadéquat du gouvernement sont trop évidents.
Un manque de fonds a vu bon nombre d’universitésn’investissent pas dans des travaux de recherche, qui devraientcontribuer à augmenter la qualité des cours proposés. Il estinconcevable que les étudiants en génie et de la médecinepeuvent passer par leurs cours avec un accès limité à deslaboratoires et ateliers bien équipés et encore s’attendus à bienperformer dans le champ une fois qu’ils obtiennent leur diplômede l’Université.
Collèges de niveau moyens comme écoles polytechniques et lesinstituts techniques qui équipés des milliers d’étudiantsincapables de se rendre à l’Université avec la formationprofessionnelle ont été progressivement dans une bousculadepour les collèges constitutifs de l’Université. Cela a mis à rude épreuve sur les universités qui doit absorber les milliers qui ont besoin d’une formation supérieure. Voir aussi : les écolescontinuent à facturer des honoraires élevés malgré un discoursdur de Lionel CS plus d’universités sont obligés de combler ledéficit de financement en admettant un plus grand nombred’étudiants sur des parcours parallèles qui vont du certificat,diplôme de degré.
Le danger est que, mis à part un manque apparent d’installationspropices à l’apprentissage, ils compromettent sur la qualité del’enseignement qu’ils offrent. Vente de certificats à des personnesqui n’ont pas suivi les classes de collèges ont été signalés.Souvent, les diplômés sont mal équipés pour gérer les défis dansles domaines qu’ils prétendument formés pour une fois enactivité.
Il y a des milliers de Kenyans intellectuellement habilitésitinérance désespérément dans les rues à la recherche d’emplois,parce que ce qu’ils ont formés pour n’a aucune pertinence sur lemarché du travail. Il appartient donc au gouvernement d’aboutirà des méthodes qui peuvent améliorer la qualité del’enseignement supérieur offre aux universités et collèges. Unefaçon d’y parvenir est de contrôler et réguler les collèges.
Les cours proposés doivent se conformer à un programme d’études approuvé et tous les collèges doivent être accrédités.
Lésiner sur la recherche n’est pas une option. Financement accordé aux universités faciliter la recherche doit être améliorée.Une autre façon d’améliorer les normes est en établissant despartenariats avec des universités en Europe, Asie, Afrique et lesAmériques pour étalonnage. Étudiants rejoignant les universitésont besoin des conseils appropriés sur le choix de cours quiconcernent le marché du travail.
Le rétablissement des collèges de niveau intermédiaire ira unlong chemin en réduisant la pression exercée sur les principalesuniversités qui devrait se concentrer sur l’offre de cours delicence. Le système de l’enseignement supérieur semble mettrel’accent sur les emplois de cols blancs. Qui a besoin de changer.Pour minimiser le temps perdu pendant la grève, étudiants et lagestion de l’Université doivent dialoguer davantage.
