‘There are 200,000 refugees from Nigeria in Chad, Cameroon and Niger,’ UNHCR Regional Representative for West Africa Liz Ahua told reporters in the northeastern Bauchi State on Tuesday.
BAUCHI, Nigeria
About 200,000 Nigerian refugees, who have been displaced by Boko Haram militants, are currently living in neighboring countries, the UN High Commission for Refugees (UNHCR) has said.
“There are 200,000 refugees fromNigeria in Chad, Cameroon and Niger,” UNHCR Regional Representative for West Africa Liz Ahua told reporters in the northeastern Bauchi State on Tuesday.
“We have 100 percent responsibility to support them by providing physical and legal protection for them,” Ahua said.
“We work with partners in the three countries to support the refugees with education and medical facilities because they are no more living in their country…so we have to give them adequate support.”
Ahua said the displaced persons are willing to return to Nigeria but are dogged by fear of violence perpetrated by Boko Haram militants, who still roam some parts of the northeast.
“These people are traumatized because some of them came from Yobe, Adamawa and others and they spent two to three months before they got to camps where they are staying,” she said.
“Some of the women complained of education because their children are out of school and they want them to go back to school. They also complain of school materials to enable them learn in conducive environment.”
Ahua said measures are being put in place to ensure the refugees are properly catered for particularly in the food, medical and educational needs.
Nigeria is battling a six-year insurgency by the Boko Haram militant group, with tens of thousands killed and millions displaced.
At the peak of the insurgency in 2013 and 2014, the militants took over large swathe of towns and villages across the three states of Adamawa, Borno and Yobe and conducted deadly attacks on soft and military targets.
But the army, backed by troops from Chad and Niger, has almost neutralized the militants’ threat by driving them out of the areas they once occupied and taking battle to their strongholds in Sambisa forest where near a thousand hostages have been freed.
FRENCH VERSION
Environ 200 000 réfugiés nigérians, qui ont été déplacées par desmilitants de Boko Haram, vivent actuellement dans des paysvoisins, le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) adit.
« Il y a 200 000 fromNigeria de réfugiés au Tchad, Cameroun etau Niger, » le représentant régional du HCR pour l’Afrique del’Ouest Liz Ahua a déclaré aux journalistes dans l’état de Bauchinord-est mardi.
« Nous avons la responsabilité de 100 pour cent pour les souteniren offrant une protection physique et juridique pour eux, » a déclaré Arnould.
« Nous travaillons avec des partenaires dans les trois pays desoutenir les réfugiés avec l’enseignement et des installationsmédicales parce qu’ils ne sont aucun plus vivant dans leur pays… alors il faut leur donner un soutien adéquat ».
Arnould a dit les déplacés sont prêts à retourner au Nigéria maissont sapés par crainte de violences perpétrées par des militantsde Boko Haram, qui errent encore dans certaines parties dunord-est.
« Ces gens sont traumatisés parce que certains d’entre euxvenaient de Yobe, Adamaoua et d’autres et ils ont passé deux outrois mois avant, ils ont obtenu dans des camps où ils sont logés, » dit-elle.
« Certaines femmes se plaignaient de l’éducation parce que leursenfants ne sont pas scolarisés, et ils veulent revenir à l’école. Ilsse plaignent également de l’école des matériaux pour leurpermettre d’apprennent dans un environnement favorable. »
Arnould dit mesures sont mises en place pour s’assurer que lesréfugiés sont correctement pris en compte en particulier dans lesaliments, les besoins médicaux et éducatifs.
Nigeria est aux prises avec une insurrection de six ans par legroupe militant de Boko Haram, des dizaines de milliers de tuéset des millions de déplacés.
À l’apogée de l’insurrection en 2013 et 2014, les militants ontrepris la grande bande de villes et villages dans les trois Étatsd’Adamawa, Borno et Yobe et mené des attaques meurtrières surdes cibles douces et militaires.
Mais l’armée, appuyée par des troupes du Tchad et du Niger, aneutralisé presque menace des militants de leur conduite horsdes zones qu’ils une fois occupé et prenant la bataille à leursbastions dans la forêt de Sambisa près de mille otages ont étélibérés.