National Coordinator of the Ghana Maritime Boundary Secretariat Kwame Fordjour Mfodwo has admitted that the legal proceedings initiated by Ghana under the United Nations Convention on the Law of the Sea (UNCLOS) against La Cote d’Ivoire will cost the country “a few millions of dollars”.
“It will be reasonably expensive,” he stated.
Mr Mfodwo, however, chipped in that the expenses that would be involved in the arbitration will be a minute fraction of the commercial benefits Ghana stands to gain from exploration of oil within the area under litigation.
The maritime expert was speaking on TV3’s Hot Issues on Saturday, September 27 when he made the observations.
He assured that Ghana will stay within budget during the three-year litigation at the International Tribunal of the Law of the Sea.
He stated that a 30-member team of professionals will be in charge of the litigation and will be remunerated as per international standards.
Attorney General and Minister of Justice Marietta Brew Appiah-Opong will lead Ghana’s team with international maritime lawyers Professor Philippe Sands QC and Martin Tsamenyi as part of the team.
A group of cartographers will also be hired to draw the maritime boundaries, Mr Mfodwo said.
He said Ghana’s team is made up of the best Anglophone litigants on maritime issues.
They have won cases for Bangladesh, Peru and some were part of the ARA Libertad case involving Ghana and Argentina, he cited.
Mr Mfodwo continued that the Jubilee Fields is safe from the litigation, but it is the newly discovered TEN Fields that is within the area under dispute.
Meanwhile, though yet to name an arbitrator, Ivory Coast says it will file a formal complaint against Ghana over the suit.
“We will take this before the competent jurisdiction, but we are not going to say more for the moment,” Bruno Kone, a spokesperson of the Ivorian government told Reuters last Friday.
FRENCH VERSION
Coordonnateur national du Ghana Maritime Boundary Secrétariat Kwame Fordjour Mfodwo a admis que les procédures judiciaires engagées par le Ghana en vertu de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS) contre La Côte d’Ivoire va coûter le pays “quelques millions de dollars ».
«Ce sera assez cher,” at-il déclaré.
M. Mfodwo, cependant, ébréché en ce que les dépenses qui seraient impliqués dans l’arbitrage sera une fraction infime des avantages commerciaux Ghana à gagner de l’exploration du pétrole dans la zone en litige.
L’expert maritime parlait sur les questions chaudes de TV3, le samedi 27 Septembre, quand il a fait les observations.
Il a assuré que le Ghana rester dans le budget au cours de l’instance de trois ans au Tribunal international du droit de la mer.
Il a déclaré qu’une équipe de 30 membres de professionnels sera en charge du litige et sera rémunéré selon les normes internationales.
Procureur général et ministre de la Justice Marietta Brew Appiah-Opong mèneront l’équipe du Ghana avec les avocats maritimes internationales professeur Philippe Sands QC et Martin Tsamenyi dans le cadre de l’équipe.
Un groupe de cartographes sera également engagé pour dessiner les frontières maritimes, M. Mfodwo dit.
Il a dit l’équipe du Ghana est composée des meilleurs plaideurs anglophones sur les questions maritimes.
Ils ont obtenu gain de cause pour le Bangladesh, le Pérou et certains faisaient partie de l’affaire ARA Libertad de entre le Ghana et l’Argentine, il a cité.
M. Mfodwo poursuivi en disant que les champs Jubilee est à l’abri de litige, mais ce sont les nouvellement découverts dix champs qui est dans la zone en litige.
Pendant ce temps, bien que pas encore nommé un arbitre, Côte-d’Ivoire dit qu’il va déposer une plainte officielle contre le Ghana sur le costume.
“Nous allons prendre ce devant la juridiction compétente, mais nous n’allons pas en dire plus pour le moment”, Bruno Koné, porte-parole du gouvernement ivoirien a déclaré à Reuters vendredi dernier.