A senior official with the UN Entity for Gender Equality and the Empowerment of Women (UN Women) says climate change has a disproportional impact on women and girls.
John Hendra, Deputy Executive Director, Policy and Programme for UN Women, said on Monday in New York, that it had become imperative that any future climate change agenda had to recognise the role of women.
“Any future climate change agreement or Sustainable Development Goals really have to have women as a major part of the strategy.
“To achieve this, UN Women is engaging political leaders and changing their outlook on climate change,’’ he added.
Hendra said that the agency was looking at much more understanding of how to not look at climate change as just an isolated issue.
“But really how gender equality and addressing inequality more broadly is important for effective action against climate change.”
He cited the Sub-Saharan region of Africa as an example of a continent with natural resources but a growing disparity in land distribution.
“In Sub-Saharan Africa, women face high-levels of inequality,” he said.
Hendra said that Sub-Saharan Africa was particularly vulnerable to climate change because of its dependency on natural resources, high-levels of poverty and weak infrastructure.
He provided statistics of the most susceptible group-impoverished women in rural areas of the Sub-Saharan Africa.
“Three quarters of extreme poverty affect women in rural areas, more specifically, 65 per cent of rural livelihoods and small agricultural holders are women.
“Although women have a substantial role in rural agriculture, they only own 10 to 20 per cent of the farm land, and therefore, women need to have more land resources,” he added.
Hendra said that the next global agenda would focus more attention on women
FRENCH VERSION
Un haut responsable de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU Femmes) déclare que le changement climatique a un impact disproportionné sur les femmes et les filles.
John Hendra, Directeur exécutif adjoint, Politique et le Programme d’ONU Femmes, a déclaré lundi à New York, qu’il était devenu impératif que tout futur programme de changement climatique devait reconnaître le rôle des femmes.
“Tout futur accord sur le changement climatique ou objectifs de développement durable vraiment avoir des femmes comme une partie importante de la stratégie.
“Pour atteindre cet objectif, ONU Femmes est l’engagement des leaders politiques et changer leur perception sur le changement climatique», at-il ajouté.
Hendra a déclaré que l’agence cherche à beaucoup plus de compréhension de comment ne pas considérer le changement climatique comme un simple problème isolé.
“Mais vraiment comment l’égalité et lutter contre les inégalités entre les sexes de façon plus large qui est important pour une action efficace contre le changement climatique.”
Il a cité la région subsaharienne de l’Afrique, par exemple, d’un continent en ressources naturelles mais une disparité croissante dans la répartition des terres.
«En Afrique subsaharienne, les femmes font face à des taux importants de l’inégalité», at-il dit.
Hendra a déclaré que l’Afrique subsaharienne est particulièrement vulnérable au changement climatique en raison de sa dépendance sur les ressources naturelles, hauts niveaux de pauvreté et la faiblesse des infrastructures.
Il a fourni des statistiques sur les femmes pauvres des groupes les plus vulnérables dans les zones rurales de l’Afrique sub-saharienne.
“Les trois quarts de l’extrême pauvreté sur les femmes dans les zones rurales, plus précisément, 65 pour cent des moyens de subsistance ruraux et les petits exploitants agricoles sont des femmes.
“Bien que les femmes ont un rôle important dans l’agriculture rurale, ils ne possèdent que 10 à 20 pour cent des terres agricoles, et par conséquent, les femmes doivent avoir plus de ressources de la terre,” at-il ajouté.
Hendra a déclaré que le prochain programme mondial serait accorder plus d’attention sur les femmes
