Global banking in resent years have gone down a little bit while cross-border bank lending has fallen sharply since the crisis, extending our bank ownership database from 1995-2009 up to 2013 shows only limited retrenchment in foreign bank presence.
While banks from OECD countries reduced their foreign presence (but still represent 89% of foreign bank assets), those from emerging markets and developing countries expanded abroad and doubled their presence.
Especially advanced countries hit by a systemic crisis reduced their presence abroad, with far flung and relatively small investments more likely to be sold. Poorer and slower growing countries host fewer banks today, while large investments less likely expanded.
Conversely, faster host countries’ growth and closeness to potential investors meant more entry. Lending by foreign banks locally grew more than cross-border bank claims did for the same home-host country combination, and each was driven by different factors.
Altogether, our evidence shows that global banking is not becoming more fragmented, but rather is going through some important structural transformations with a greater variety of players and a more regional focus.
FRENCH VERSION
Bancaire mondial années renvoyé ont baissé un peu tandis que les prêts bancaires transfrontaliers a fortement diminué depuis la crise, s’étendant de notre base de données de propriété de la Banque de 1995 à 2009 jusqu’à 2013 montre seulement limitée repli en présence de la banque étrangère.
Alors que les banques des pays de l’OCDE a réduit leur présence à l’étranger (mais toujours représentent 89 % des actifs de la banque étrangère), ceux des marchés émergents et les pays en développement élargi à l’étranger et doublé leur présence.
Particulièrement avancés pays frappés par une crise systémique réduit leur présence à l’étranger, avec des investissements relativement petits et lança loin plus susceptibles d’être vendus. Les pays les plus pauvres et à croissance plus lente hôte banques moins aujourd’hui, alors que de gros investissements que moins probablement élargi.
À l’inverse, croissance plus rapides pays d’accueil et de proximité aux investisseurs potentiels signifient plus d’entrée. Prêts consentis par des banques étrangères sur place ont augmenté davantage que les créances bancaires transfrontaliers pour la même combinaison de pays hôte de la maison, et chacun était motivée par différents facteurs.
Au total, nos éléments de preuve montrent que bancaire mondial ne devient pas plus fragmenté, mais va plutôt à travers certaines transformations structurelles importantes avec une plus grande variété de joueurs et une approche plus régionale.
