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Boko Haram Bomb Pupils At Assembly In Secondary School, Yobe North East-Nigeria // Boko Haram Bombe Elèves A L’Assemblée Dans Le secondaire, Yobe North East-Nigéria




Agence France-Presse in Kano

Many left dead and injured after explosion before morning assembly at secondary school in Yobe, north-east Nigeria

At least 13 people have been killed after an explosion ripped through a school in north-east Nigeria, as students gathered for morning assembly before classes began.

A teacher at the school, a medic and a rescue worker said the blast took place at the Government Comprehensive Senior Science secondary school in Potiskum, Yobe state.

boko

The rescue worker said 13 bodies had been taken to hospital with more than 30 others left “with various degrees of injuries”. There was no official death toll.

“The students had gathered for the morning assembly when something exploded in their midst with a thunderous sound at exactly 7:50am (06.50 GMT),” added a teacher, who asked not to be identified.

“The explosion has affected many students but I can’t say how many because we are now evacuating the victims to the hospital which is just 100 metres away,” the teacher added.

A medic at Potiskum General hospital, where the victims were taken, said scores of students had been admitted.

“We are still receiving casualties from the school which is a stone’s throw from here,” the medic said. “Our priority now is to save the injured, so we have not started a headcount of the victims.”

A local resident, Adamu Alkassim, said there was confusion in and around the school.

There was no immediate claim of responsibility for the attack, but Boko Haram militants are likely to be the prime suspects.

The group, which wants to create a hardline Islamic state in northern Nigerian, has previously carried out deadly attacks on schools teaching a “western” curriculum.

In February, gunmen killed at least 40 students after throwing explosives into the dormitory of a government boarding school in Buni Yadi, also in Yobe state.

In July last year, 42 students were killed when Boko Haram attacked dormitories in a gun and bomb attack on a government boarding school in the village of Mamudo, near Potiskum.

Boko Haram’s most high-profile attack on a school came in April, when fighters kidnapped 276 girls from the town of Chibok in Borno state, also in north-east Nigeria. More than six months later, 219 of the girls are still being held.

Potiskum, the commercial hub of Yobe state, has been targeted repeatedly by attacks blamed on Boko Haram. Last week, at least 15 people were killed in a suicide bomb attack targeting a Shia religious ceremony in the city.

Yobe is one of three north-eastern states that has been under a state of emergency since May last year to try to quell the bloody insurgency.

But violence has continued and Boko Haram has seized at least two dozen towns and villages in recent months, raising doubts about the government’s ability to control the region.

FRENCH VERSION

Bomb 2o

Beaucoup laissé mort et blessé après l’explosion avant l’Assemblée du matin à l’école secondaire de Yobe, au nord-est NigeriaAt moins de 13 personnes ont été tuées après une explosion arraché par le biais d’une école au nord-est Nigéria, que les étudiants se sont réunis pour l’Assemblée du matin avant le début de classes.

Professeur à l’école, un infirmier et un travailleur de sauvetage, a déclaré que l’explosion a eu lieu à l’école secondaire de gouvernement global Senior Science à Potiskum, état de Yobe.

Le travailleur de sauvetage dit 13 corps avaient été transportés à l’hôpital avec plus de 30 autres à gauche “avec des degrés divers de blessures”. Il n’y n’avait aucun bilan officiel.

“Les étudiants s’étaient réunis pour l’Assemblée du matin lorsque quelque chose a explosé au milieu d’eux avec un bruit de tonnerre à exactement 07:50 (06.50 GMT),” a ajouté une enseignante qui a demandé de ne pas être identifié.

“L’explosion a touché de nombreux étudiants, mais je ne peux pas dire combien parce que nous sommes en train d’évacuer les victimes vers l’hôpital qui est situé à seulement 100 mètres de l’hôtel, « l’enseignant a ajouté.

Infirmier à l’hôpital général de Potiskum, où les victimes ont été prises, a déclaré dizaines d’étudiants avaient été hospitalisés.

« Nous recevons toujours victimes de l’école qui est à quelques encablures de là, » a déclaré le médecin. « Notre priorité est maintenant de sauver les blessés, donc nous n’avons pas commencé un dénombrement des victimes. »

Un résident local, Adamu Alkassim, a déclaré il y a confusion dans et autour de l’école.

Il n’y n’avait aucune revendication immédiate de la responsabilité de l’attaque, mais les militants de Boko Haram sont susceptibles d’être les principaux suspects.

Le groupe, qui veut créer un Etat islamique extrémiste dans le nord du Nigeria, a précédemment effectué des attaques meurtrières sur les établissements d’enseignement un curriculum « occidental ».

En février, des hommes armés a tué au moins 40 élèves après avoir jeté des explosifs dans le dortoir d’un pensionnat de gouvernement dans Buni Yadi, également dans l’état de Yobe.

En juillet l’an dernier, 42 étudiants ont été tués lorsque Boko Haram ont attaqué les dortoirs lors d’une attaque de pistolet et de la bombe sur un pensionnat de gouvernement dans le village de Martinez, près de Potiskum.

Attaque de plus grande envergure de Boko Haram sur une école est venu en avril, quand des combattants enlèvement 276 filles de la ville de Chibok dans l’état de Borno, également dans le nord-est Nigéria. Plus de six mois plus tard, 219 des filles sont toujours détenus.

Potiskum, le centre commercial de l’état de Yobe, a été visé à plusieurs reprises par des attaques blâmés sur Boko Haram. La semaine dernière, au moins 15 personnes ont été tuées dans un attentat suicide visant une cérémonie religieuse chiite dans la ville.

Yobe est l’un des trois États du nord-est qui est sous état d’urgence depuis mai dernier pour tenter de réprimer l’insurrection sanglante.

Mais la violence a continué et Boko Haram a saisi au moins deux douzaines de villes et de villages au cours des derniers mois, soulevant des doutes sur la capacité du gouvernement à contrôler la région.




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