Over 200 people protested in Kenya’s capital, Nairobi, after a group of men tore off a woman’s clothes for wearing a miniskirt.The protesters chanted “Shame on you“ and handed out flowers at a bus rank where the attack took place, while at the same time in opposite direction a rival demonstration, of a scanty few men chanted “Dress up. We don’t want this. Kenya is a conservative society, where activists complain that women’s rights are often violated, our reporter says.
It sparked outrage among Kenyans, with the hashtags#MydressMychoice and #strippingshame trending on Twitter on Saturday and Sunday, the local Daily Nation newspaper reports.
Deputy President William Ruto entered the debate, saying Kenya was not a “primitive” society and the men who stripped the woman should be arrested.
Both men and women, some dressed in miniskirts, marched to the bus rank and the offices of police chief David Kimaiyo, demanding an end to violence against women.
Protesters accused taxi touts of stripping the woman.
Rival protesters gathered outside Mr Kimaiyo’s office, and were joined by a conservative Christian group chanting: “We are a God-fearing nation.”.
Mr Kimaiyo has appealed to the unnamed woman to lodge an official complaint with police so that the incident can be investigated.
FRENCH VERSION
Plus de 200 personnes ont protesté dans la capitale du Kenya, Nairobi, après qu’un groupe d’hommes arraché les vêtements de la femme pour avoir porté une mini-jupe.
Les manifestants scandaient « Honte à vous » et distribuaient des fleurs à un rang d’autobus où l’attentat a eu lieu, alors qu’en même temps en sens inverse une manifestation rivale, de quelques rares hommes scandait « Dress up. Nous ne voulons pas cela. »
Le Kenya est une société conservatrice, où les militants se plaignent que les droits des femmes sont souvent violés, notre reporter affirme.
Groupe de la mère, mamans de Kilimani, a organisé la manifestation après une vidéo de l’attaque virale sur les médias sociaux la semaine dernière.
Protester à Nairobi, au Kenya, une femme décaper pour porter une minijupe (17 novembre 2014) les militants disent que le gouvernement n’a pas fait assez pour protéger les droits des femmes
Protester à Nairobi (Kenya), sur une femme décaper pour porter un chrétiens fois mini-jupe (17 novembre 2014) et les musulmans ont participé à la manifestation
Il a suscité l’indignation parmi les Kenyans, avec les hashtags #MydressMychoice et #strippingshame une tendance sur Twitter le samedi et le dimanche, rapporte le journal Daily Nation.
Directeur général adjoint William Ruto entré dans le débat, en disant au Kenya n’était pas une société « primitive » et les hommes qui ont dépouillé la femme devraient être arrêtés.
Les hommes et les femmes, certaines habillées en minijupe, et marchèrent sur le grade d’autobus et les bureaux du chef de la police David Kimaiyo, exigeant la fin de la violence contre les femmes.
Manifestants accusés rabatteurs de taxi de décapage de la femme.
Manifestants rivaux se sont rassemblés devant le Bureau de M. Kimaiyo et ont été rejoints par un groupe chrétien conservateur en scandant: « Nous sommes une nation qui craignent Dieu. ».
M. Kimaiyo a lancé un appel à la femme sans nom de déposer une plainte officielle auprès de police afin que l’incident peut être étudié.