Top UN official Ban Ki-moon is in West Africa to show solidarity with countries battling Ebola, which has so far killed nearly 7,000 people. The epidemic is also interrupting food supplies.
Ban Ki-moon has his temperature checked as a precaution against Ebola upon arrival in Liberia
The tour by UN Secretary General Ban Ki-moon aims to raise the profile of the efforts to fight Ebola and thank the hundreds of organizations and thousands of health workers who have participated. “Our goal is to see the last case identified and cured,” he said.
Speaking in Monrovia, he praised Liberia for its efforts to combat Ebola. “We have reasons to be cautiously optimistic that this terrible outbreak can be defeated,” he told a joint press conference with Liberia’s president, Ellen Johnson Sirleaf.
“Our response strategy is working – where people are gaining access to treatment, where contacts are being traced, burials are becoming safer, communities are mobilizing to protect themselves,” Ban said.
DW’s correspondent in Monrovia Julius Kanubah said Liberian officials and international aid workers have welcomed the visit by Ban Ki-moon as a significant gesture of solidarity because the struggle against the disease is far from over, despite the decline in transmission in the country.
Ban: ‘As long as there is one case of Ebola, the risk remains’
Earlier Ban stressed that it was “important to abide by health protocols.”
He was referring – among other things – to the need to avoid contact with the body fluids of people infected with Ebola, whether living or dead, if the spread of the infection was to be halted.
Concern about Sierra Leone
Rates of infection are rising fastest in Sierra Leone, which accounts for more than half of the confirmed cases of the virus. They now number from than 18,600. Infection is spreading rapidly around the capital Freetown, where some aid workers say public information efforts are faltering.
This week Sierra Leone launched “Operation Western Area Surge” to contain the outbreak with health workers fanning out and looking for the sick, street by street. Restrictions on travel and public festivities have been announced for the holiday period.
Medical charity Medecins Sans Frontieres (MSF) said it had opened two new Ebola treatment centers in Sierra Leone to cope with the rise in cases – in Freetown and the central town of Magburaka – bringing its total in the country to four.
More than 3,000 people have died of Ebola in Liberia
“There is still a need to improve messaging about the disease. 70 percent of people in our Freetown treatment center got infected at funerals,” Thierry Goffeau, MSF’s emergency coordinator in Sierra Leone, told the Reuters news agency.
Impact on food supply
Ebola is also disrupting the lives of people who have so far escaped infection. It is wreaking havoc with food supply chains in West Africa, leaving half a million people without enough to eat.
Two UN agencies, the UN Food and Agriculture Organization (FAO) and the World Food Program (WFP) have warned that this figure could rise to 1 million by March 2015 “unless access to food is drastically improved and measures are put in place to safeguard crop and livestock production.”
The World Health Organization said the death toll from the nine-month-old epidemic had risen to 6,915 as of December 14.
FRENCH VERSION
M. Ban Ki-moon a sa température vérifiée par mesure deprécaution contre Ebola à l’arrivée au Libéria
La tournée par UN Secrétaire général Ban Ki-moon a pour but derehausser l’image des efforts pour lutter contre le virus Ebola etremercier les centaines d’organisations et des milliers detravailleurs de la santé qui ont participé. « Notre objectif est devoir le dernier cas identifié et guéri », dit-il.
Parlant à Monrovia, il a salué le Libéria pour sa lutte contre levirus Ebola. « Nous avons des raisons d’être prudemmentoptimiste que cette terrible épidémie peut être vaincue », il a ditdans une conférence de presse conjointe avec le Président du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf.
“Notre stratégie de réponse fonctionne – où les gens gagnentl’accès au traitement, où les contacts sont tracées, sépultures sontde plus en plus sûrs, les communautés sont mobilisent pour seprotéger,” Ban dit.
Correspondant de DW dans Monrovia Julius Kanubah ditfonctionnaires libériens et les travailleurs humanitairesinternationaux ont salué la visite de Ban Ki-moon comme ungeste significatif de solidarité parce que la lutte contre cettemaladie est loin d’être terminée, malgré la baisse de latransmission dans le pays.
Interdiction: « tant qu’il y a un seul cas d’Ebola, le risque demeure»
Interdiction antérieure a souligné qu’il était « important derespecter les protocoles de santé ».
Il faisait allusion – entre autres – de la nécessité d’éviter toutcontact avec les fluides corporels des personnes infectées par levirus Ebola, vivant ou mort, si la propagation de l’infection devaitêtre stoppée.
Préoccupations concernant la Sierra Leone
Trois autres pays aux prises avec le virus d’Ebola – Sierra Leone,Guinée et Mali – sont également sur l’itinéraire de l’interdiction.Est donc le Ghana qui abrite le siège de la Mission de l’ONU pourEbola Emergency Response (UNMEER).
Taux d’infection sont en hausse plus rapide en Sierra Leone, quireprésente plus de la moitié des cas confirmés du virus. Ils ontmaintenant nombre de plus de 18 600. L’infection se répandrapidement autour de la capitale Freetown, où quelquestravailleurs humanitaires dites activités d’information sontchancelante.
Cette semaine le Sierra Leone a lancé « Opération Western AreaSurge » pour endiguer la flambée avec les agents de santéfanning out et vous cherchez les malades, rue par rue. Restrictionssur les voyages et les festivités publiques ont été annoncées pourla période des vacances.
Organisme de bienfaisance médicale Médecins Sans frontières(MSF) a dit qu’a ouvert deux nouveaux centres de traitement duvirus Ebola en Sierra Leone pour faire face à la hausse des cas – àFreetown et dans le centre ville de Magburaka – portant son totaldans le pays à quatre.
Plus de 3.000 personnes sont mortes du virus Ebola au Libéria
“Il est encore nécessaire d’améliorer les échanges sur la maladie.70 % des personnes dans notre centre de traitement de Freetowna été infecté lors de funérailles,”Thierry Goffeau, coordinatriced’urgence de MSF en Sierra Leone, a déclaré à l’Agence de presseReuters.
Impact sur l’approvisionnement alimentaire
Ebola est également perturber la vie des personnes qui ontéchappé à l’infection. Il est des ravages avec des chaînesd’approvisionnement alimentaire en Afrique de l’Ouest, laissantun demi-million de personnes sans assez à manger.
Deux agences de l’ONU, la FAO et l’Agriculture (FAO) et leprogramme alimentaire mondial (PAM) ont averti que ce chiffrepourrait s’élever à 1 million en mars 2015, « sauf si l’accès à lanourriture est grandement améliorée et mesures sont mises enplace pour protéger les cultures et l’élevage. »
L’Organisation mondiale de la santé dit que le bilan de l’épidémiede neuf mois est passé à 6 915 en date du 14 décembre.
