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November 21, 2024
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ECONOMY

Zim Dollar Is Suicidal To Zimbabwe Economy // ZIM Dollar Est Suicidaire Pour L’économie Du Zimbabwe




RBZ Governor, John Mangudya, unveiling new coins to the media.

THE Reserve Bank of Zimbabwe on December 5 unveiled a set of new bonded coins worth $10 million, which as started circulating on December 18, in a bid to ease the shortage of lower denomination currency, but repeated assurances it would not bring back the local currency.

Zimbabwe follows the recent examples of Ecuador and East Timor, dollarized economies which introduced locally minted coins known as centavos – derived from the Latin word for a hundredth — with a par value with US currency in 2000 and 2003, respectively.

Zimbabwe adopted the use of multiple foreign currencies – mainly the US dollar and neighbouring South Africa’s rand — in 2009 to curb runway inflation which peaked at 500 billion percent in 2008 and destroyed its local currency. But the country’s consumers have struggled with change, a factor blamed for higher prices compared to regional countries as traders round up prices.

According to the central bank, about 80 percent of trading in the country is conducted in US dollars, with the rest being in rand and Botswana’s pula.

RBZ governor, John Mangudya told journalists during a press briefing that the special coins of 1c, 5c, 10c, 20c, and 50c, whose values would be at par with the US cents, were part of a five-year $50 million bond that government had secured  to give them value.

He ruled out the return of the Zimbabwe Dollar saying that it would be “careless” and economic “suicide” as there was no production and reserves to  anchor it on and the country has foreign currency reserves of up to three months.

“There are no fundamentals to bring back the local currency. We have no appetite to do so, and we can’t be careless to do so and we won’t do that,” he said, while responding to a question on whether this was a way of returning the local currency.

Mangudya said despite “plenty of goodwill” in terms of investment into the country, it would require about five years to start considering the return of the local currency.

The new coins, which were minted in South Africa, are denominated in one cent, five cents, 10 cents and 25 cents will start circulating on December 18 while the 50 cents  coin will start circulating next March as it took long to mint due to its enhanced security features, he said.

“The Reserve Bank is therefore addressing the divisibility …. through this initiative which has already received significant support from the Consumer Council of Zimbabwe, business organisations and financial institutions,” Mangudya said.

The initial $10 million coins are equivalent to two percent of total current bank deposits and would be maintained at below 10 percent, according to Mangudya. Under normal circumstances, coins in issue should be equivalent to between 20 and 25 percent of total bank deposits.

At least 30 million rand coins would also be imported to augment the bond coins.

Mangudya said for transparency and accountability, the whole process would be subject to public scrutiny and would be audited by the Institute of Chartered Accountants of Zimbabwe.

Mangudya said he expected the introduction of the coins to result in the reduction of the prices on the market, which had been constrained by the absence of an appropriate system of coins.

“These coins shall therefore go a long way in mitigating the country’s lopsided pricing structure for the convenience of consumers,” he said.

Meanwhile, the central bank chief said the other currencies such as the Chinese Yuan, Rupee, Yen which were introduced earlier this year were not popular on the market.

“We were looking at where Zimbabwe was exporting and importing its goods. We thought naturally that the consumers and business would prefer to deal in those currencies but alas, the demand in those currencies has been low,” he said. Chipo Musoko/The Source

FRENCH VERSION

LA Banque de réserve du Zimbabwe le 5 décembre a dévoilé unensemble de nouvelles pièces de monnaie servile d’une valeur de$ 10 millions, qui, comme a commencé à circuler le 18 décembre,dans le but d’alléger la pénurie de devise de nominale plus faible,mais les assurances répétées qu’il ramènerait pas la monnaielocale.
Zimbabwe suit les exemples récents de l’Équateur et le Timor oriental, économie dollarisée, qui a présenté des pièces fabriquéeslocalement connus comme centavos dérivé du mot Latin pourun centième avec un pied d’égalité précieuse avec la deviseaméricaine en 2000 et 2003, respectivement.
Zimbabwe a adopté l’utilisation de multiples devises étrangères principalement le dollar américain et rand de l’Afrique du Sudvoisine en 2009 pour lutter contre l’inflation de piste qui a culminé à 500 milliards en 2008 et détruit sa monnaie locale. Maisles consommateurs du pays ont eu du mal avec le changement,un facteur blâmé pour des prix plus élevés par rapport aux paysde la région comme commerçants arrondir les prix.

 

Selon la Banque centrale, environ 80 pour cent du commercedans le pays est effectué en dollars américains, le reste étant enrand et pula du Botswana.
RBZ gouverneur, John Mangudya a déclaré aux journalistes au cours d’une conférence qui de presse les pièces spéciales de 1C,5C, 10c, 20c, et 50 ° c, dont les valeurs seraient à pied d’égalitéavec les cents américains, faisaient partie d’un cautionnement de$ 50 millions cinq ans que le gouvernement avait fixé pour leurdonner une valeur.
Il a exclu le retour du Zimbabwe Dollar disant qu’il serait « imprudente » et économique « suicide » car il n’y n’avait aucuneproduction et réserves pour ancrer sur et le pays dispose deréserves de devises de jusqu’à trois mois.
“Il n’y a aucun cours de base pour ramener la monnaie locale.“Nous n’avons pas d’appétit de le faire et nous ne pouvons pasêtre négligents de le faire et nous ne le ferai pas, dit-il, tout enrépondant à une question à savoir si c’était une façon deretourner la monnaie locale.
Mangudya a dit malgré « beaucoup de bonne volonté » en termes d’investissement dans le pays, il faudrait environ cinq anspour commencer à examiner le retour de la monnaie locale.
Les nouvelles pièces de monnaie, qui ont été frappées en Afriquedu Sud, sont libellés dans un cent, 5 cents, 10 cents et 25 centscommenceront à circuler le 18 décembre, tandis que la pièce demonnaie de 50 cents commencera en mars prochain encirculation car il a fallu longtemps pour la menthe en raison de sescaractéristiques de sécurité améliorées, a-t-il dit.
« La Banque de réserve répond donc la divisibilité… dans le cadre de cette initiative qui a déjà reçu un soutien important de la Conseil des consommateurs du Zimbabwe, les organisations d’entreprises et les institutions financières, » a déclaré Mangudya.
Les pièces de monnaie initiale $ 10 millions sont équivalentes àdeux pour cent du total des dépôts bancaires actuels et seraientmaintenus en dessous de 10 pour cent, selon Mangudya. Dansdes circonstances normales, les pièces en cause doivent êtreéquivalents à entre 20 et 25 % des dépôts bancaires total.
Au moins 30 millions de rand pièces seraient également importésafin d’augmenter les pièces de liaison.
Mangudya dit pour la transparence et la responsabilisation,l’ensemble du processus serait soumis à un contrôle public etseraient vérifié par l’Institut des comptables agréés du Zimbabwe.
Mangudya a dit que s’attendre l’introduction des pièces àentraîner une réduction des prix sur le marché, ce qui avait étéfreinée par l’absence d’un système approprié de pièces demonnaie.
« Ces pièces doivent donc aller un long chemin pour atténuer lastructure de prix déséquilibré du pays à l’intention desconsommateurs, » dit-il.
Pendant ce temps, le chef de la Banque centrale a dit les autresmonnaies comme le Yuan chinois, la roupie, le Yen, qui ont étéprésentés plus tôt cette année n’étaient pas populaires sur lemarché.
“Nous regardions Zimbabwe était exportation et importationde ses produits. Nous avons pensé naturellement que lesentreprises et les consommateurs préféreraient à traiter dans cesmonnaies, mais hélas, la demande des monnaies a été faible,”dit-il.Chipo Musoko/la Source




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