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November 7, 2024
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Did 2014 Do Anything for Women at Work? // 2014 fait quoi que ce soit pour les femmes au travail ?




Alakija

In 2014 several companies, including Universal Music Publishing Group andAmerican Apparel, tapped their first female chief executive officers. On the other hand, it was also the year Microsoft CEO Satya Nadella said women shouldn’t ask for raises, women sued Goldman Sachs over its alleged “boys’ club culture,” and Silicon Valley took heat over excluding workers who didn’t fit the brogrammer mold.

Here’s a glance at the state of affairs for professional women at the end of 2014.

Still not getting paid as much as men (even when they’re just as experienced and doing the same type of work).

Women graduating from business school in 2014 were slated to earn $14,548 lessthan their male peers in their first job out of school, an analysis of  Bloomberg Businessweek data found. Some skeptics of the gender-wage gap have argued that women are paid less because they tend to enter lower-paying industries or because they set their salary clock back by taking breaks to start families, yet the wage gap held steady even when women and men entered the same field and had roughly the same level of experience. Among career-switchers, who all leave business school with the same amount of experience relevant to the industry they’re entering (that is to say, no experience), women still made less than men.

Getting hired in droves by diversity-loving companies—just not for the most important jobs.

Companies love to tout their diversity initiatives but tend to get quiet when you ask them to break down their female workforce by seniority level. It turns out that, especially within the financial services sector, very few women make it to the top ranks of companies. When they do, they’re often in departments that don’t drive the company’s bottom line, leaving them with a smaller role in steering the company’s direction.

Having trouble finding workplace advocates.

Research says one of the best things a young worker can do is to find himself or herself a sponsor— co-worker who’ll advocate for them in the workplace. The problem is that senior women who speak up for female employees are more likely to get negative evaluations from their bosses. Complicating matters further, both men and women are less likely to want to mentor women.

Unpopular as bosses.

Just a fifth of Americans surveyed by Gallup in October said they’d prefer a female boss over a male boss. Women (39 percent of whom said they’d prefer a male boss) were even more likely than men (26 percent of whom said they’d prefer a male boss) to say they wanted their boss to be a man.

 FRENCH VERSION

En 2014, plusieurs sociétés, dont Universal Music PublishingGroup et American Apparel, exploité leurs premières femmesdirecteurs généraux. En revanche, c’est aussi le PDG de MicrosoftSatya Nadella dit femmes ne devrait pas demander pour lesrelances, femmes poursuivi Goldman Sachs sur son prétendu“boys’ club culture” et la Silicon Valley ont chaleur repris à l’exclusion des travailleurs qui ne cadrait pas avec le moulebrogrammer.

 

Voici un coup de œil sur la situation des femmes professionnellesà la fin de 2014.

 

Encore ne pas être payé autant que les hommes (même quand ils sont tout autant d’expérience et faire le même type de travail).

 

Diplômé d’école de commerce en 2014 les femmes devaientgagner $ 14 548 moins que leurs homologues masculins dansleur premier emploi hors de l’école, une analyse des données deBloomberg Businessweek trouve. Certains sceptiques de l’écart desalaire entre les sexes ont fait valoir que les femmes sont moinspayées parce qu’ils ont tendance à entrer dans les industriesmoins bien rémunérés, soit parce qu’ils régler leur horloge desalaire retour en prenant des pauses pour commencer les familles,mais l’écart salarial s’est maintenu même lorsque les femmes etles hommes entre sur le terrain même et avaient à peu près lemême niveau d’expérience. Entre carrière-mélangeurs, qui tousquittent l’école de commerce avec la même quantité d’expériencepertinentes à l’entrer dans l’industrie (c’est à ne dire, aucunexpérience), femmes faites encore moins de hommes.

 

Se faire embaucher en masse par les sociétés éprises de diversité— mais pas pour les travaux plus importants.

 

Compagnies aiment vanter leurs initiatives de diversité mais ont tendance à devenir calme quand vous leur demander de fairetomber leur main de œuvre féminine par niveau d’ancienneté. Ils’avère que, en particulier dans le secteur des services financiers,très peu de femmes rendre aux premiers rangs des compagnies.Quand ils le font, ils sont souvent dans les ministères qui ne pasconduire la ligne de fond de la société, leur laissant un rôle moinsimportant dans l’orientation de l’entreprise de direction.

 

Des difficultés à trouver de travail préconise.

 

Recherche dit une des meilleures choses qu’un jeune travailleurpeut faire est de trouver lui-même un sponsor — collègue qui vaplaider pour eux en milieu de travail. Le problème est que lesfemmes âgées qui se prononcer en faveur d’employés fémininssont plus susceptibles d’obtenir des évaluations négatives de leurspatrons. Pour compliquer encore les choses, les hommes et lesfemmes sont moins susceptibles de vouloir encadrer les femmes.

 

Impopulaires comme Boss.

 

Seulement un cinquième des américains interrogés par Gallup enoctobre, a déclaré qu’ils préféreraient un bossage femelle plus unpatron masculin. Les femmes (39 pour cent d’entre eux a dit qu’ils auraient préférer un patron masculin) sont encore plussusceptibles que les hommes (26 pour cent d’entre eux a déclaréqu’ils préféreraient un patron masculin) pour dire qu’ils voulaientleur patron comme un homme.




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