A new round of talks between rival Libyan factions will take place in Geneva on Monday, the United Nations said, even as gunmen kidnapped the deputy foreign minister of the recognized government.
Nearly four years after a NATO-backed revolt ousted Muammar Gaddafi, Libya is in turmoil with two rival governments and two parliaments backed by armed factions who Western governments fear may drag the country into civil war.
The internationally-recognised government of Prime Minister Abdullah al-Thinni and the elected House of Representatives have worked out of the east after one faction, Libya Dawn, took over Tripoli in the summer, set up its own government and reinstated the old parliament known as the GNC.
A delegation from the House of Representatives and parties allied to Tripoli attended a first round of talks in Switzerland this month, but major representatives from Libya Dawn and the General National Congress have not joined.
In a new push, the U.N. mission in Libya (UNSMIL) said two rounds of talks would take place this week in Switzerland. A first round pursing the “main political track” would convene on Monday followed by a second one gathering local councils.
“UNSMIL plans to convene a number of other tracks at a later stage. These will include representatives from Libyan political parties, social and tribal forces, as well as the armed groups,” it said in a statement.
The U.N. wants to form a national unity government but has said that smaller steps such as local ceasefires and prisoner exchanges would be a more realistic option to achieve first.
Last week, the GNC said it was suspending its participation in the talks it says should take place inside Libya, blaming the seizing of a central bank branch in Benghazi by Thinni’s forces. Thinni’s government has said the bank, which controls vital oil revenues, was only being secured.
The talks came as more violence shook the desert nation.
In Bayda, seat of the eastern government, gunmen kidnapped deputy foreign minister Hassan al-Saghir by snatching him from his hotel, interior minister Omar al-Zanki said.
In Benghazi, scene of a separate battle between army forces allied to Thinni and Islamists, 13 people were killed and 38 wounded during clashes in the al-Lithi district, medics and military officials aid.
Salim al-Naili, a special forces battalion commander, accused the Islamist group Ansar al-Sharia of having shelled residential buildings. Critics have also accused Thinni’s troops of causing casualties by using war planes inside the city.
The Tripoli-based government said in a statement five of its soldiers had been killed north of Sabha, the main city in the south, by former Gaddafi loyalists.
(Reporting by Ayman al-Warfalli; Writing by Ulf Laessing; Editing by Robin Pomeroy and Michael Urquhart)By Ayman al-Warfalli and Ulf Laessing
FRENCH VERFSION
Une nouvelle série de pourparlers entre les factions rivales de libyennes aura lieu à Genève lundi, l’ONU a dit, alors même que les hommes armés ont enlevé le vice-ministre des affaires étrangères du gouvernement reconnu.
Presque quatre ans après qu’une révolte soutenus par l’OTAN évincés Muammar Gaddafi, Libye est en émoi avec deux gouvernements rivaux et deux parlements soutenue par des factions armées qui les gouvernements occidentaux craignent peut faire glisser le pays dans la guerre civile.
Le gouvernement reconnu internationalement du premier ministre Abdullah al-Thinni et la Chambre des représentants élus ont travaillé hors de l’est après qu’une faction, aube de la Libye, Tripoli a repris à l’été, mis en place son propre gouvernement et rétabli l’ancien Parlement, connu comme le GNC.
Une délégation de la Chambre des représentants et les partis alliés à Tripoli ont assisté à une première série de pourparlers en Suisse ce mois-ci, mais les principaux représentants de l’aube de la Libye et le Congrès National général n’ont pas adhéré.
Dans un nouvel élan, la mission de l’ONU en Libye (UNSMIL) dit deux séries de pourparlers auraient lieu cette semaine en Suisse. Un premier poursuivant ronde que se réunirait lundi de la « voie politique principale » suivie d’une seconde collecte des conseils locaux.
« UNSMIL envisage de convoquer un certain nombre d’autres pistes à un stade ultérieur. Ceux-ci comprendront des représentants des partis politiques libyennes, les forces sociales et tribus, ainsi que les groupes armés,”il a déclaré dans un communiqué.
L’ONU veut former un gouvernement d’unité nationale, mais a dit que des étapes plus petites telles que des cessez-le-feu locaux et les échanges de prisonniers serait une option plus réaliste pour atteindre tout d’abord.
La semaine dernière, le GNC a dit qu’elle suspendait sa participation aux pourparlers, qu’il est dit devrait avoir lieu à l’intérieur de la Libye, blâmant la confiscation d’une succursale de la Banque centrale de Benghazi par les forces de Thinni. Gouvernement du Thinni a dit la Banque, qui contrôle les revenus pétroliers vital, était seulement être garantie.
Les pourparlers venaient plus de violence a secoué la nation désertique.
En Bayda, siège du gouvernement l’est, des hommes armés a enlevé vice-premier ministre des affaires étrangères Hassan al-Saghir en lui arrachant de son hôtel, a déclaré le ministre de l’intérieur Omar al-Zanki.
À Benghazi, théâtre d’une bataille séparée entre forces de l’armée alliée à Thinni et islamistes, 13 personnes ont été tuées et 38 blessées lors d’affrontements dans le quartier al-Lithi, les médecins et les responsables militaires aide.
Salim al-Naili, un commandant de bataillon des forces spéciales, a accusé la groupe islamiste Ansar al-charia d’avoir bombardé des bâtiments résidentiels. Les critiques ont également accusé les troupes de Thinni de causer des victimes en utilisant des avions de guerre à l’intérieur de la ville.
Le gouvernement de Tripoli-base a déclaré dans un communiqué cinq de ses soldats avait été tué au nord de Sabha, la principale ville du Sud, par des anciens loyalistes de Kadhafi.
(Déclaration par Ayman al-Warfalli ; Écrit par Ulf Laessing ; Montage par Robin Pomeroy et Michael Urquhart)
