Gas shipments could come from Israel’s offshore Tamar gas field, which Noble operates, and whose partners have floated plans to connect the field with Egypt’s Damietta liquefied natural gas plant, Reuters reported.
Israel’s Delek Drilling, one of the partners in the field, said in November that if an agreement is signed, gas supplies to Egypt could start flowing in 2017.
Egypt has signed several deals in past months to import natural gas, which powers most of its homes and factories, but imports from Israel are potentially more sensitive because of the countries’ rocky history.
Reuters cited an unnamed oil ministry source as saying Sunday’s talks concerned the technical procedures for bringing natural gas from Israeli fields into Egypt.
“Negotiations are under way about the amount of gas that can be imported,” the source said. Another source at Cairo’s airport earlier on Sunday told the news agency that a delegation came for several hours from Israel to discuss gas shipments.
Egypt’s oil minister said two weeks ago that the country was open to Israeli imports.
Egypt became the first Arab country to sign a peace treaty with Israel in 1979, following three decades of intermittent conflict since Israel’s creation in 1948.
While many Egyptians still view Israel with suspicion, relations have improved since the army toppled President Mohamed Mursi, an Islamist, in 2013 after mass protests against his rule.
The two countries also have a shared interest in containing the Palestinian Islamist movement Hamas, which controls the Gaza Strip, and maintaining stability in the Sinai Peninsula where security has deteriorated since Mursi’s ouster.
Egypt, which once exported gas to Israel and elsewhere, is going through its worst energy crisis in decades, with rising consumption and declining production turning it into an energy importer.
The government has tried to improve the energy landscape by slashing subsidies, paying down its debt to foreign energy companies, and negotiating import agreements.
After finalising a long-delayed deal for an LNG import terminal, it has reached agreements to receive gas from Algeria, and is in talks with Russia and Cyprus for gas shipments.
FRENCH VERSION
Par Reuters
Delek Drilling israélien, un des partenaires dans le domaine, a déclaré en novembre que si un accord est signé, les livraisons degaz vers l’Egypte pourraient commencer s’écoulant en 2017.
Egypte a signé plusieurs contrats au cours des derniers moisd’importation de gaz naturel, qui alimente la plupart de sesmaisons et usines, mais les importations en provenance d’Israëlsont potentiellement plus sensibles en raison de l’histoire derocky le pays.
Reuters a cité une source du ministère sans nom huile disant lespourparlers de dimanche concerne les procédures techniquespour amener le gaz naturel de champs israéliens en Égypte.
« Les négociations sont en cours sur la quantité de gaz qui peutêtre importé », a dit la source. Une autre source à l’aéroport du Caire plus tôt dimanche, a dit l’Agence de presse qu’unedélégation est venue pendant plusieurs heures d’Israël pourdiscuter des livraisons de gaz.
Il y a deux semaines, ministre du pétrole de l’Égypte a déclaréque le pays est ouvert aux importations israéliennes.
L’Égypte est devenue le premier pays arabe à signer un traité depaix avec Israël en 1979, après trois décennies de conflitintermittent depuis la création d’Israël en 1948.
Alors que beaucoup d’Egyptiens considèrent toujours Israël avecsuspicion, les relations se sont améliorées depuis que l’armée a renversé le Président Mohamed Mursi, un islamiste, en 2013,après des protestations de masse contre son régime.
Les deux pays ont également un intérêt partagé pour contenir lemouvement islamiste palestinien Hamas, qui contrôle la bandede Gaza, et de maintenir la stabilité dans la péninsule du Sinaï oùla sécurité s’est détériorée depuis l’éviction de Mursi.
L’Egypte, qui une fois exporté gaz à Israël et d’ailleurs, esttraverse sa plus grave crise de l’énergie depuis des décennies,avec augmentation de la consommation et baisse de laproduction, transformant en un importateur d’énergie.
Le gouvernement a tenté d’améliorer le paysage énergétique enentaillant des subventions, rembourser sa dette aux compagniesénergétiques étrangères et négociation d’accords d’importation.
Après la finalisation d’une affaire longtemps retardé pour uneterminal d’importation de GNL, il a conclu des ententes pourrecevoir le gaz d’Algérie et est en pourparlers avec la Russie etChypre pour les livraisons de gaz.
