Aid handouts alone are not enough to help poor countries and Britain must find ways to move “beyond aid” to have a global impact, a parliamentary watchdog said on Monday.
While aid remains crucial in lifting countries out of poverty, it is not the only answer for fragile states that may need complex interventions, the International Development Committee said in a report.
At the same time, while aid is no longer provided for middle income countries like India, new forms of cooperation should be developed with links to British institutions in areas such as health, education, law, culture and science.
The International Development Committee monitors the policy, administration and spending of the UK’s Department for International Development (DFID), which manages overseas aid.
“Aid is essential if we are to reduce poverty and reach ambitious development and environmental goals. But it isn’t enough,” the committee’s chairman Malcolm Bruce said in a statement.
The committee praised Britain’s commitment in meeting the 0.7 percent target of aid as a share of national income, and tackling cross-border issues like female genital mutilation (FGM) and the Ebola outbreak.
However, it said DFID’s record was patchy, with too little emphasis on ensuring its wider policies, such as conflict prevention, were coherent.
As focus moves away from aid, cooperation with other government departments and international partners has to be at the heart of a new approach in order to maximise impact on development and global issues such as climate change and conflict, the report said.
“That is why development in the future will not just be about aid. When the Government puts its mind to it, the results are impressive,” said Bruce.
The Committee said that DFID’s long-term future as a standalone ministry would be at risk unless stronger mechanisms to support cooperation across government on development issues were put in place.
(REUTERS , Editing by Ros Russell)
FRENCH VERSION
Aide demeure cruciale dans la levée des pays de la pauvreté, iln’est pas la seule réponse pour les États fragiles qui peuventnécessiter des interventions complexes, le Comité dedéveloppement International a déclaré dans un rapport.
Dans le même temps, alors que l’aide n’est plus fourni pour lespays à revenu intermédiaire comme l’Inde, nouvelles formes decoopération il faudrait avec des liens vers des institutionsbritanniques dans des domaines comme la santé, l’éducation,droit, culture et science.
Le Comité de développement International surveille la politique,l’administration et les dépenses du département du Royaume-Uni pour le développement International (DFID), qui gère l’aide àl’étranger.
“L’aide est essentielle si l’on veut réduire la pauvreté et atteindreles ambitieux objectifs de développement et environnementales.“”Mais il ne suffit pas, le Président du Comité Malcolm Bruce a déclaré dans un communiqué.
Le Comité a salué l’engagement de la Grande-Bretagne quirespecte l’objectif de 0,7 pour cent de l’aide comme une part durevenu national, et s’attaquer aux problèmes transfrontaliers telsque les mutilations génitales féminines (MGF) et l’épidémied’Ebola.
Toutefois, il a dit enregistrement du DFID est irrégulière, avectrop peu d’importance à s’assurer que ses politiques plus larges,tels que la prévention des conflits, étaient cohérentes.
Comme le focus se déplace loin de l’aide, la coopération avecd’autres ministères et partenaires internationaux doit être aucœur d’une nouvelle approche afin de maximiser l’impact sur ledéveloppement et les enjeux mondiaux tels que le climat changeet entrent en conflit, indique le rapport.
“C’est pourquoi le développement à l’avenir ne sera pas juste del’aide. Quand le gouvernement met son esprit à lui, les résultatssont impressionnants”, a déclaré Bruce.
Le Comité a déclaré avenir à long terme du DFID, que comme unministère autonome serait en péril, à moins que le renforcementdes mécanismes de soutenir la coopération au sein dugouvernement sur les questions de développement ont été misen place.
