Egyptian security forces were clamping down on protests last weekend, the anniversary of the 2011 uprising.
Ahmed Abdel Fattah
Egyptian security forces were clamping down on protests last weekend, the anniversary of the 2011 uprising.
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An Egyptian court has condemned 183 men to hang for the lynchings of 11 police officers by Islamist rioters in August 2013.
The condemned were found guilty of an attack on a police station on the western outskirts of Cairo in apparent retaliation for the deadly dispersal by police of Islamist protest camps that day.
Video from the scene at the Kerdassa police station showed the dead and dying police officers sitting lined up against a wall as they were abused by a crowd.
Only one of the station’s staff survived. Prosecutors said two civilians caught up in the attack were killed.
The lynchings took place hours after police broke up the Rabaa al-Adawiya sit-in in eastern Cairo. More than 800 Islamist protesters were killed in the operation, according to a death toll compiled later by nongovernmental organization Human Rights Watch.
Supporters of Egypt’s first elected president, Mohammed Morsi of the Muslim Brotherhood, had camped at the site for six weeks. The protest was mounted after then-army chief Abdel-Fattah el-Sissi deposed Morsi in the wake of mass protests calling for the president to resign.
A wave of violence by Morsi supporters after the Rabaa killings saw police stations attacked and dozens of officers killed, according to official reports. Churches and other buildings belonging to Egypt’s Christian minority were burned.
Egypt’s military-backed government at the time cast its crackdown on the Muslim Brotherhood as a struggle against terrorism, citing the police station attacks.
The defendants condemned to hang yesterday were among 188 whose preliminary death sentences were referred to Islamic legal authorities in December, as required by the Egyptian penal code.
The court reduced the sentence of one juvenile to 10 years in prison, found two of the defendants not guilty and dropped the cases of two more who have died.
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The United States is “deeply concerned” by the death sentences being upheld, State Department spokeswoman Jen Psaki said.
“It simply seems impossible that a fair review of evidence and testimony could be achieved through mass trials,” she said. “We continue to call on the government of Egypt to ensure due process for the accused on the merits of individual cases for all Egyptians, and discontinue the practice of mass trial.”
A spokesperson for European Union foreign policy chief Federica Mogherini said that the death sentences following the mass trial violated Egypt’s international human rights obligations. The EU opposes all capital punishment and called on Egyptian judicial authorities “to ensure that due legal process is followed in line with international standards.”
The defendants have the right to two appeals.
Earlier Monday, Egypt’s top appeals court granted a retrial to 12 men convicted of killing a police general in September 2013 when security forces re-entered Kerdassa for the first time after the lynchings.
More than 200 other death sentences have been passed on alleged Morsi loyalists – including Muslim Brotherhood supreme guide Mohammed Badie – over the 2013 unrest.
All remain subject to appeal, and retrials have already been ordered in a number of cases.
Morsi’s Muslim Brotherhood was banned in late 2013 as a terrorist organisation. Prominent secular democracy activists have been jailed in a crackdown on protests.
Activists said more than 40,000 people have been jailed or prosecuted since Morsi was deposed.
FRENCH VERSION
Les forces de sécurité égyptiennes ont été serrage vers le bas surles manifestations le week-end dernier, l’anniversaire del’insurrection de 2011.
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Les condamnés ont été reconnus coupables d’une attaque contreun poste de police dans la banlieue ouest du Caire en représaillesapparentes à la dispersion mortelle par la police des camps deprotestation islamiste ce jour-là.
Vidéo de la scène à la station de police de Kerdassa montrait lesmorts et les policiers assis en train de mourir alignés contre unmur, comme ils ont été abusés par une foule.
Seul du personnel de la station ont survécu. Procureurs ont ditdeux civils pris dans l’attaque ont été tués.
Les lynchages a pris lieu heures après que police rompu Rabaaal-Adawiya sit-in dans l’est du Caire. Plus de 800 manifestantsislamistes ont été tués dans l’opération, selon un bilan compilépar la suite par une organisation non gouvernementale HumanRights Watch.
Les partisans du premier président élu de l’Égypte, MohammedMorsi des frères musulmans, avaient campé sur le site pendantsix semaines. La protestation a été montée après que alors-arméechef Abdel-Fattah el-Sissi déposé Morsi à la suite demanifestations massives, appelant le Président à démissionner.
Une vague de violence par les partisans de Morsi après que lesmeurtres de Rabaa vu attaquées des commissariats de police etdes dizaines d’officiers tués, selon les rapports officiels. Églises etautres bâtiments appartenant à la minorité chrétienne de l’Egypte ont été brûlés.
De l’Égypte militaires soutenus par le gouvernement au moment où monter sa répression des frères musulmans comme une luttecontre le terrorisme, citant les attentats de la station de police.
Les défendeurs condamnés à pendre hier étaient parmi les 188dont la condamnation à mort de préliminaires ont été visée auxautorités juridiques islamiques en décembre, comme l’exige lecode pénal égyptien.
La Cour a réduit la peine d’un mineur à 10 ans de prison, deuxdes accusés a déclaré non coupable et laissé tomber les cas dedeux autres qui sont morts.
Commentaires de l’annonce
Les États-Unis est « profondément préoccupé » par lescondamnations à mort est confirmées, porte-parole dudépartement d’Etat a dit Jen Psaki.
« Il semble tout simplement impossible qu’un exposé fidèle despreuves et des témoignages pourrait être atteint au moyend’essais de mass, » dit-elle. « Nous continuons à demander augouvernement de l’Égypte à garantir une procédure régulière del’accusé quant au fond des cas individuels pour tous lesEgyptiens et mettre fin à la pratique de masse du procès ».
Un porte-parole de la chef de la politique étrangère de l’Unioneuropéenne Federica Mogherini a déclaré que les peines de mortaprès le procès de mass violé des obligations internationales de l’Egypte. L’UE s’oppose à toute peine de mort et appelé lesautorités judiciaires égyptiennes “pour“s’assurer qu’uneprocédure régulière est appliquée conformément aux normesinternationales.
Les défendeurs ont droit à deux appels.
Plus tôt lundi, la Cour d’appel supérieure de l’Égypte a accordéun nouveau procès de 12 hommes reconnus coupables d’avoir tué un général en septembre 2013, quand les forces de sécuritéKerdassa entrée à nouveau pour la première fois après leslynchages de la police.
Plus de 200 autres condamnations à mort ont été transmises à laprétendue Morsi loyalistes – y compris le guide suprême desfrères musulmans Mohammed Badie – sur les troubles de 2013.
Tous restent susceptible d’appel, et les nouveaux procès ont déjàété commandés dans un certain nombre de cas.
Les frères musulmans Morsi a été interdite fin 2013 comme uneorganisation terroriste. Éminents militants laïques ont étéemprisonnés dans une répression des manifestations.
Militants a déclaré plus de 40.000 personnes ont été emprisonnésou poursuivis puisque Morsi a été déposé.
