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April 24, 2024
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UNICEF Fears Scores of Kidnapped Children In South Sudan Could Be Sent To Front Lines // L’UNICEF Craint Dizaines D’enfants Enlevés Au Sud-Soudan Pourraient Etre Envoyés En Première Ligne




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Hundreds of children seized by armed men from a village in South Sudan have generated fears that “they are going from the classroom to the front line,” says the top United Nations Children’s Fund (UNICEF) representative in that country who demanded their immediate release.

UNICEF, in a press release issued in Juba, South Sudan, reported that 89 children preparing for exams were forcibly recruited last month as child soldiers, but the agency now believes the number of children may be in the hundreds. In addition, adult males were also forcibly recruited during the raids that took place on 15 and 16 February.

Witnesses also stated many children have been seen in a training camp as young as 12 years old were seen carrying guns but not in uniform, according to UNICEF.

“We fear they are going from the classroom to the front line,” said UNICEF’s Representative in South Sudan, Jonathan Veitch. “UNICEF appeals to [militia leader] Johnson Oloni to let those children go back to school and be with their families, immediately.”

Mr. Veitch also urged the Government of South Sudan to use whatever influence it had to secure the children’s release.

UNICEF said it is confident that the armed group which took the children was a Shilluk Militia under the control of Johnson Oloni. This militia is aligned with the Government’s Sudan People’s Liberation Army (SPLA) forces, he added.

In an intensive information gathering exercise, both in Juba and in Upper Nile state where the seizures took place, UNICEF and its partners have tried to piece together what happened during and after the raid and to discover the location of the children.

One of the challenges hampering evidence gathering has been a heavy militia presence remaining in the area, making it impossible to receive first-hand information.

From reports received so far it is becoming clear the children are not together in a single group, UNICEF reports, saying that some of the children – including some of the school boys – were believed allowed back into their village to eat with their parents and in some instances some children were allowed to go to school. They were then taken away again at night.


FRENCH VERSION

Des centaines d’enfants par des hommes armés d’un village auSud-Soudan ont suscité des craintes que « ils vont de la salle declasse à la ligne de front, » explique Fund (UNICEF), représentantle haut de la page UNICEF en ce pays qui a exigé leur libérationimmédiate.

UNICEF, dans un communiqué de presse publié à Juba, Sud-Soudan, a indiqué que 89 enfants préparant des examens ont étéenrôlés comme enfants soldats le mois dernier, mais l’Agencecroit maintenant que le nombre d’enfants peut être plusieurs centaines. En outre, les mâles adultes ont été également enrôlésde force durant les raids qui ont eu lieu les 15 et 16 février.

Témoins dit aussi que beaucoup d’enfants ont été vus dans uncamp d’entraînement aussi jeune que 12 ans ont été vustransportant des armes à feu, mais pas en uniforme, selonl’UNICEF.

« Nous craignons qu’ils vont de la salle de classe à la ligne defront, » a déclaré le représentant de l’UNICEF au Sud-Soudan,Jonathan Veitch. “L’UNICEF demande à [chef de milice] JohnsonOloni pour laisser les enfants aller retour à l’école et d’être avecleurs familles, immédiatement”.

M. Veitch a également exhorté le gouvernement du Soudan du Sud à utiliser quelque influence, il fallait obtenir la libération des enfants.

Elle est convaincue que le groupe armé qui a pris les enfants étaitune milice Shilluk sous le contrôle de Oloni Johnson, a déclarél’UNICEF. Cette milice est alignée avec le gouvernement desforces armée de libération (SPLA du peuple soudanais), a-t-ilajouté.

Dans une dénonciation intensive collecte exercice, tous deux àJuba et dans l’Etat du Haut-Nil, les saisies ont eu lieu, l’UNICEFet ses partenaires ont tenté de morceau ensemble ce qui s’est passé pendant et après le raid et de découvrir l’emplacement desenfants.

Une des difficultés qui entravent le rassemblement de la preuve aété une présence forte de la milice restant dans la zone, rendantimpossible de recevoir des informations de première main.

De rapports reçus jusqu’à présent, il devient clair que les enfantsne sont pas ensemble dans un seul groupe, les rapports del’UNICEF, disant que certains enfants y compris certains desgarçons école auraient accueilli dans leur village pour mangeravec leurs parents, et dans certains cas, certains enfants ont étéautorisés à aller à l’école. Ils ont ensuite étés emmenés à nouveaudans la nuit.



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