Boko Haram militants are gathering en masse in the northeast Nigerian town of Gwoza in preparation for a showdown with international forces, according to an intelligence officer.
The source said security forces from Chad are in the area and moving slowly for fear of harming civilians and because the Islamist group is surrounding the town with landmines.
A woman trapped in Gwoza since it was seized in July told her daughter that last week the group urged civilians to leave the town to avoid being killed in crossfire in an anticipated battle.
Hajiya Adama said her mother said the fighters were releasing young women being held against their will, including some made pregnant during their captivity.
She said her mother left Gwoza last week and escaped to the town of Yola, in the neighbouring state of Adamawa.
Cameroon special forces guard the Elbeid bridge in Fotokol last month
Boko Haram declared an Islamic caliphate across a swath of northeast Nigeria last August and continue to kill dozens in suicide bombings and village attacks, though troops from Chad and Nigeria have retaken dozens of towns in recent weeks.
Safety has come at a heavy price for tens of thousands of Nigerians who have fled the fighting and are now sheltering in neighbouring Cameroon.
Many of them scratch around for food and complain bitterly at the shortage of water in the huge refugee camp north of Maroua which is now their home.
Retaking Gwoza would be a major coup for Nigeria and for the campaign of President Goodluck Jonathan for re-election at critical 28 March ballots.
The polls have been delayed for six weeks in the hope the threat from Boko Haram can be more adequately contained.
The six-year conflict in Nigeria has killed an estimated 12,000 people and left 1.6 million people homeless.
A woman trapped there since Gwoza was seized in July told her daughter that Islamic extremists are urging civilians to leave town to avoid being killed in crossfire in an anticipated major battle.
Hajiya Adama said her mother said the fighters have also released young women being held against their will, including some made pregnant during their captivity.
She said her mother left last week and escaped to the town of Yola, in neighbouring Adamawa state.
“She told me that Boko Haram terrorists asked them to leave suddenly, that they were preparing grounds for a major battle,” Ms Adama told the Associated Press.
“She said while being helped by other women to leave through Madagali, they saw many Boko Haram terrorists in trucks and some on bikes moving towards Gwoza.”
An intelligence officer said security forces are moving slowly for fear of harming civilians, and especially since Boko Haram is surrounding Gwoza with land mines.
He confirmed forces from Chad are in the area.
Boko Haram in August declared an Islamic caliphate across a swathe of north-east Nigeria where it held sway.
In recent weeks, Chadian and Nigerian troops have retaken a score of towns. But the militants continue to kill scores in suicide bombings and village attacks.
Retaking Gwoza would be a major coup for Nigeria and for the campaign of president Goodluck Jonathan for re-election at critical March 28 ballots.
Critics say the contest is too close to call between Mr Jonathan, a southern Christian, and retired general Muhammadu Buhari, a former military dictator who has vowed to stamp out the six-year-old insurgency that has killed an estimated 12,000 people and left 1.6 million homeless.
FRENCH VERSION
La source dit du Tchad, les forces de sécurité sont dans la régionet se déplaçant lentement par crainte de nuire aux civils et parce que le groupe islamiste est autour de la ville avec les mines antipersonnel.
Une femme prise à Gwoza, puisqu’il a été saisi en juillet a dit à safille que la semaine dernière, le groupe a exhorté les civils dequitter la ville pour éviter d’être tué dans des tirs croisés dansune bataille.
Hajiya Adama dit que sa mère dit que les combattants étaientlibérant des jeunes femmes détenues contre leur volonté, y compris certains faits enceintes pendant leur captivité.
Elle a dit sa mère Gwoza a laissé la semaine dernière et s’est échappé à la ville de Yola, dans l’État voisin de l’Adamaoua.
Le personnel des forces spéciales Cameroun montent la gardesur le pont de Elbeid à Fotokol
Boko Haram a déclaré un Califat islamique dans un couloir dunord-est du Nigeria en août dernier et continuent de tuer des dizaines dans les attentats–suicides attentats à l’explosif et levillage, bien que les troupes du Tchad et du Nigéria ont reprisdes dizaines de villes ces dernières semaines.
Sécurité est venu à un lourd tribut pour les dizaines de milliers deNigérians qui ont fui les combats et abritent désormais auCameroun voisin.
Beaucoup d’entre eux scratch autour de la nourriture et se plaignent amèrement du manque d’eau dans le camp de réfugiésénorme au nord de Maroua qui est maintenant leur maison.
Reprise Gwoza serait un grand coup pour le Nigeria et lacampagne du Président Goodluck Jonathan pour se faire réélire àdes bulletins critiques 28 mars.
Les sondages ont été retardés pendant six semaines dans l’espoirque la menace de Boko Haram peut figurer plus adéquatement.
Le conflit de six ans au Nigéria a tué environ 12 000 personnes etlaissé 1,6 millions de personnes sans abri.
Une femme coincée là depuis Gwoza a été saisi en juillet a dit àsa fille que les extrémistes islamistes demandent instamment auxcivils de quitter la ville pour éviter d’être tué dans des tirs croisésdans une bataille majeure.
Hajiya Adama dit que sa mère dit que les combattants ontégalement publié des jeunes femmes détenues contre leurvolonté, y compris certains faits enceintes pendant leur captivité.
Elle a dit sa mère a quitté la semaine dernière et s’est échappé àla ville de Yola, dans les pays voisins Etat d’Adamawa.
« Elle m’a dit que Boko Haram terroristes leur a demandé dequitter brusquement, qu’ils sont apprêtaient à motifs pour unebataille majeure, » Mme Adama a déclaré à l’Associated Press.
« Elle a dit tout en étant aidé par d’autres femmes à quitter par lebiais de Madagali, ils ont vu de nombreux terroristes de BokoHaram dans des camions et certains vélos vers Gwoza ».
Un officier du renseignement a déclaré les forces de sécurité sontdéplacent lentement, par crainte de blesser des civils, et surtoutque Boko Haram est entourant Gwoza de mines terrestres.
Il a confirmé que les forces du Tchad sont dans la région.
Boko Haram en août, a déclaré un Califat islamique à travers unebande du nord-est Nigéria où il régnait.
Reprise Gwoza serait un grand coup pour le Nigeria et lacampagne du Président Goodluck Jonathan pour se faire réélire àdes bulletins critiques le 28 mars.
Les critiques disent que le concours est trop étroit pour appelerentre M. Jonathan, un chrétien du Sud et le général MuhammaduBuhari, un ancien dictateur militaire qui s’est engagé à mettre finà l’insurrection de six ans qui a tué environ 12 000 personnes etlaissé 1,6 millions de sans abri à la retraite.
