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Sudan Rebels Say They Have Begun Armed Campaign To Derail Elections // Les Rebelles Soudanais Disent Qu’ils Ont Commencé Une Campagne Armée Pour Déraillent Les Elections




South+Sudan+rebels+Feb+8+2014

By Khalid Abdelaziz

A Sudanese rebel group said on Friday it had launched a military campaign focused on derailing elections slated for next month, as rebels and the government reported fresh clashes.

The statement by the Sudan People’s Liberation Army-North Sector (SPLM-N) marks the first time a major rebel group has explicitly said it is aiming to force the government to cancel the election through armed action.

“The military campaign will reach cities and villages under the control of the (ruling) National Congress Party to prevent Bashir from re-electing himself as president once again,” SPLM-N spokesman Arnaud Lodi said in a statement.

The SPLM-N statement said there had been clashes in South Kordofan, while a representative of the Sudan Liberation Movement, a major Darfuri armed group, said there had been clashes in Jebel Marra in Darfur.

An army spokesman confirmed the clashes but dismissed the SPLM-N’s campaign.

“That is just talk for media consumption,” said Colonel Al-Sawarmi Khalid.

Sudan has faced a rebellion in Darfur since 2003 and a separate but linked insurgency in Blue Nile and South Kordofan since the secession of South Sudan in 2011.

Violence on both fronts has increased in past months.

Meanwhile, the mainstream political opposition has abandoned a national reconciliation process, announced a boycott of the polls, and launched a campaign to push for the exit of President Omar al-Bashir after 25 years of his rule.

Bashir has been giving confident campaign speeches for several weeks now in the run-up to the presidential and parliamentary polls, and is currently at an economic conference in the Egyptian resort town of Sharm el-Sheikh.

The rebels said their offensive was in solidarity with the opposition’s moves to force Bashir’s exit.

“The goal of the military campaign is to integrate the diverse paths of the struggle — the armed uprising and civil disobedience — in order to stop the elections and bring down the autocratic system,” Lodi said.

The political opposition could not be immediately reached for comment.

The SPLM-N is made up of former civil war fighters who were left in northern Sudan after the south seceded in 2011. They have since joined Darfuri rebels and some political groups in a loose coalition pushing for the end of Bashir’s rule.

(Writing by Shadi Bushra; Editing by Catherine Evans)

FRENCH VERSION
Par Khalid Abdelaziz
Un groupe de rebelles soudanais a dit, le vendredi, qu’il a lancéune campagne militaire axée sur faire dérailler les électionsprévues pour le mois prochain, comme rebelles et legouvernement a signalé des affrontements fraîches.
La déclaration faite par le secteur d’armée-nord de libération dupeuple soudanais (SPLM-N) est la première fois, un grouperebelle majeur a dit explicitement qu’elle essaye de forcer legouvernement à annuler l’élection grâce à l’action armée.
“La campagne militaire atteindra les villes et villages sous lecontrôle du parti du Congrès National (jugement) pour empêcherBashir de ré-élire lui-même comme président une fois de plus,”porte-parole du SPLM-N Arnaud Lodi a déclaré dans uncommuniqué.
Le communiqué du SPLM-N il y a eu des affrontements dans leKordofan Sud, alors qu’un représentant de la mouvement delibération du Soudan, un darfouri important groupe armé, a déclaré qu’il avait été s’affronte dans le Jebel Marra, au Darfour.
Un porte-parole de l’armée a confirmé les affrontements, mais a rejeté la campagne de la SPLM-N.
« C’est juste parler de la consommation des médias, » a déclaréle Colonel Al-Sawarmi Khalid.
Soudan a fait face à une rébellion dans le Darfour depuis 2003 etune insurrection distincte mais liée au Nil bleu et du Kordofan méridional depuis la sécession du Sud-Soudan en 2011.
Sur les deux fronts, la violence a augmenté au cours des derniers mois.
Pendant ce temps, l’opposition politique grand public aabandonné un processus de réconciliation nationale, a annoncéun boycott du scrutin et a lancé une campagne visant à faire pression pour la sortie du Président Omar el-Béchir, après 25 ansde son règne.
Bashir a donné des discours de campagne confiant depuisplusieurs semaines maintenant, à la veille du scrutin présidentielet parlementaire et est actuellement à une Conférenceéconomique dans la station balnéaire égyptienne ville de Charmel-Cheikh.
Les rebelles, a déclaré que leur offensive était en solidarité avecles mouvements de l’opposition pour forcer la sortie de Bashir.
“L’objectif de la campagne militaire est d’intégrer les cheminsdivers de la luttele soulèvement armé et désobéissance civile,afin de stopper les élections et de faire tomber le systèmeautocratique”, a déclaré Lodi.
L’opposition politique ne pouvait pas joignable immédiatementpour commentaire.
Le SPLM-N est composé de combattants de l’ancienne guerrecivile qui ont été laissés dans le nord du Soudan, après que leSud ont fait sécession en 2011. Ils ont depuis rejoints rebellesdarfouri et certains groupes politiques dans une coalition lâche,poussant pour la fin de la domination de Bashir.
(Écrit par Shadi Bushra ; Montage par Catherine Evans)




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