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November 7, 2024
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Free Speech Should Be Worth More Than Diamonds in Angola // Liberté D’expression Doit Etre Une Valeur Supérieure A Diamants En Angola




Angolan President Jose Eduardo dos Santos shakes hands with US Secretary of State John Kerry on May 5, 2014. SAUL LOEB/AFP/Getty Images

How many attempts by your government to keep you quiet through harassment, arrests and trials would it take before you stopped trying to hold them to account? For Rafael Marques, nothing the Angolan government has thrown at him will keep him silent. Rafael goes on trial this month for writing a book accusing army generals in Angola of alleged human rights abuses. We are calling on the US State Department to raise our free speech concerns for Rafael and all citizens to the Angola government.

Rafael goes on trial March 24th on politically motivated charges relating to a book he wrote in 2011 alleging human rights violations in the diamond industry by generals in the Angolan military and private businesses. He also filed a criminal complaint against those alleged to be responsible for the abuses described in his book, seeking justice for the victims of the country’s diamond industry. As a result, Mr. Marques was formally charged with criminal defamation; prosecuted for simply exercising his right to freedom of expression.

In 2000, Rafael was convicted of defaming Angola’s president, Eduardo dos Santos, and sentenced to six months in prison. However, the UN Human Rights Committee found the conviction violated his free speech and ordered such malicious prosecutions to cease. Clearly Angola did not heed this memo. Angola’s vaguely written press law, written in 2006, limits the ability of journalists to publically criticize the government, and a number of journalists have been prosecuted for criminal defamation by senior government officials.

The US government says it holds the right to free speech and freedom of expression to besacred, fundamental and universal. Let’s push them to match action to rhetoric. We are calling on the State Department to let the Angola government know of our concerns about Rafael’s rights being violated, both in regard to free speech as well as a fair trial. Help us make this happen by raising your voice to make sure we can ALL raise our voices.

FRENCH VERSION

Combien de tentatives par votre gouvernement pour vous tenirtranquille à travers le harcèlement, les arrestations et les procèsfaudra-t-il avant que vous avez cessé d’essayer de leur demanderdes comptes ? Pour Rafael Marques, rien que le gouvernementangolais a jetés sur lui gardera lui silencieux. Rafael va à l’essai cemois-ci pour avoir écrit un livre accusant les généraux de l’arméeen Angola de violations présumées des droits de l’homme. Nousexhortons le département d’Etat américain à exprimer nospréoccupations de liberté d’expression pour Rafael et tous lescitoyens au gouvernement angolais.

Rafael poursuit en justice le 24 mars accusations politiquementmotivées relatives à un livre, que écrivait-il en droits de l’homme2011 tiré d’une violation dans l’industrie du diamant par lesgénéraux dans les entreprises privées et militaires angolais. Il aégalement déposé une plainte pénale contre les personnescensées pour être responsable pour les abus décrits dans sonlivre, qui demandent justice pour les victimes de l’industrie dudiamant du pays. Ainsi, M. Marques a été formellement inculpéde diffamation ; poursuivi pour avoir simplement exercé son droità la liberté d’expression.

En 2000, Rafael a été reconnu coupable d’avoir diffamé lePrésident angolais, Eduardo dos Santos et condamné à six moisde prison. Toutefois, le Comité des droits de l’homme a trouvé ladéclaration de culpabilité a violé sa liberté d’expression et a ordonné à ces poursuites abusives de cesser. Clairement l’Angolan’a pas tenu en compte ce mémo. Loi sur la presse écritevaguement de l’Angola, écrit en 2006, limite la capacité desjournalistes à critiquer publiquement le gouvernement, et uncertain nombre de journalistes ont été poursuivi pour diffamationpar les hauts responsables du gouvernement.

Le gouvernement américain dit qu’elle détient le droit à la libertéd’expression et la liberté d’expression à être sacré, fondamentalet universel. Nous allons pousser pour correspondre à l’action àla rhétorique. Nous exhortons le département d’Etat pourinformer le gouvernement de l’Angola de nos préoccupationsconcernant les droits de Rafael bafoués, tant en ce qui concernela liberté d’expression mais aussi à un procès équitable. Nousaider à y arriver en élevant la voix pour s’assurer que nouspouvons élever nos voix.



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