The inability of many ground-breaking researches undertaken at Makerere University to translate into popular consumable products has been attributed to the high cost of acquiring intellectual property (IP) rights.
According to the World Intellectual Property Organisation (WIPO), intellectual property rights allow creators or owners of patents, trademarks or copyrighted works to benefit from their own work or investment in a creation.
Intellectual property equally enables consumers to confidently identify and buy products or services with reliable, international trademark protection and enforcement mechanisms- thereby discouraging counterfeiting and piracy.
Addressing the press at Makerere University on Thursday, the head of the institution’s directorate of research and graduate studies Dr Buyinza Mukadasi expressed concern that as much as Uganda’s inventions could address both local and global challenges, the colossal costs of obtaining IP rights stood in their way.
Prof George William Nasinyama, the former deputy director for research at Makerere revealed that it costs about $4,000 to acquire IP rights in Africa. For an inventor to expand IP rights to cover Asia, it would cost $11,000. Obtaining rights for Europe could require as much as $20,000.
Nasinyama nevertheless noted that Makerere has now started laying emphasis on footing the bills for acquiring IP rights for some of the institution’s crucial innovations.
“We are also sensitising our researchers to seek advice from the directorate of research on how they can best go about acquiring IP rights for their innovations,” said Nasinyama.
Nasinyama and Mukadasi had convened the press conference held at Makerere University to announce the programme for the institution’s forthcoming international research and innovations dissemination conference slated for April 20 and 21 at Hotel Africana in Kampala.
The conference will be used to disseminate findings of research conducted at Makerere with the support of the Swedish International Development Cooperation Agency (Sida).
To be held under the theme ‘community transformation through research, innovations and knowledge translation’, presentations at the conference will made under areas of- health and health systems; natural resource utilisation; conservation and environmental sustainability; food security, safety and value addition; culture, socio-economic development, social justice, governance, conflict and disaster management; and advances in education, science and technology.
The Swedish Ambassador to Uganda- Urban Andersson lauded the research collaboration between Makerere and Sida- saying it has resulted into development of solutions to numerous challenges.
“The results emanating from collaborative research projects have allowed Sweden to increase its knowledge and understanding of areas such as malaria and other tropical diseases, which were hitherto not possible for us to research,” said Andersson in a statement.
Since 2000 when the collaboration between Makerere and Sida began, there have been three consecutive research agreement periods (five years each), enabling Uganda’s most populous university to receive a s total of about $75m from Sweden.
In the next five years running up to 2020, Makerere – seeks the support of Sida to among other things train- 100 academics to Masters Degree level and 200 academics from public universities to PhD level.
FRENCH VERSION
Selon l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle(OMPI), droits de propriété intellectuelle permettent descréateurs ou des propriétaires de brevets, les marques ou lesœuvres protégées de bénéficier de leur propre travail oud’investissement dans une création.
La propriété intellectuelle permet également aux consommateursamenés à identifier ou acheter des produits ou services avecmarque fiable, international protection et le respect desmécanismes-décourageant ainsi la contrefaçon et le piratage.
S’adressant à la presse à l’Université Makerere le jeudi, le chef dela direction de l’établissement des études de recherche et études supérieures Dr Buyinza Mukadasi craint que comme lesinventions de l’Ouganda pourraient traiter tant locales quemondiales conteste, les coûts colossaux de l’obtention de droitsde propriété intellectuelle s’établissait à leur manière.
Prof. George William Nasinyama, l’ancien directeur adjoint derecherche à Makerere a révélé qu’il en coûte environ $ 4 000d’acquérir les droits de propriété intellectuelle en Afrique. Pourun inventeur d’élargir les droits de propriété intellectuelle pourcouvrir l’Asie, il en coûterait $ 11 000. Obtention de droits pourl’Europe pourrait exiger autant que $ 20 000.
M. Nasinyama a toutefois noté que Makerere a commencémettant l’accent sur les projets de loi pour l’obtention de droitsde propriété intellectuelle pour certaines des innovationscruciales de l’institution de pied.
« Nous sommes également sensibiliser nos chercheurs pourdemander l’avis de la direction de la recherche sur la façon dontils peuvent mieux aller sur l’acquisition de droits de propriété intellectuelle pour leurs innovations, » a déclaré m. Nasinyama.
Nasinyama et Mukadasi ont présidé la Conférence de pressetenue à l’Université Makerere d’annoncer le programme derecherche international à paraître de l’institution et Conférencede diffusion des innovations prévue pour le 20 avril et 21 à l’hôtelAfricana à Kampala.
La conférence permettra de diffuser les résultats des recherchesmenées à Makerere avec le soutien de l’Agence suédoise decoopération internationale au développement (ASDI).
Qui se tiendra sous le thème « transformation de la Communautépar le biais de l’application des connaissances, des innovations etdes recherches », présentations lors de la Conférence est réalisésdans les domaines de la santé et de la santé des systèmes ;utilisation des ressources naturelles ; conservation et durabilitéde l’environnement ; sécurité alimentaire, de sécurité et de valeurajoutée ; culture, développement économique, justice sociale,gouvernance, gestion des conflits et des catastrophes ; et lesprogrès de l’éducation, la science et technologie.
L’Ambassadeur de Suède à l’Ouganda – Urban Andersson a louéla collaboration entre Makerere et Sida-disant lui a donné naissance dans l’élaboration de solutions aux nombreux défis dela recherche.
“Les résultats émanant des projets de recherche ont permis deSuède d’augmenter ses connaissances et la compréhension deszones telles que le paludisme et autres maladies tropicales, quin’étaient jusqu’alors pas possibles pour nous de recherche,” adéclaré Andersson dans un communiqué.
Depuis 2000, début de la collaboration entre Makerere et Sida,ont eu trois périodes d’accord de recherche consécutives (cinqans chacun), ce qui permet de l’Université la plus populeuse de l’Ouganda recevoir un total de s d’environ 75 millions de dollarsde la Suède.
Au cours des cinq prochaines années, en cours d’exécutionjusqu’en 2020, Makerere – cherche l’appui ASDI pour entre autresuniversitaires de train-100 de choses au niveau de la maîtrise et200 enseignants d’universités publiques niveau doctorat.