ITALY has pressed the European Union to devise plans for refugee camps to stop the tide of migrants on smugglers’ boats in the Mediterranean.
Italian defence minister Roberta Pinotti said camps should be set up in countries bordering Libya and smugglers must be targeted with military intervention.
Pinotti said: “We know where the smugglers keep their boats, where they gather. The plans for military intervention are there.”
She was speaking ahead of an emergency summit of EU leaders today in Brussels, called in the wake of a shipwreck off Libya last weekend that authorities believe may have killed more than 800 migrants.
In the latest arrival of migrants, an Italian naval vessel docked in the Sicilian port of Augusta with 446 people on board who had been rescued from a smuggler’s boat on Tuesday.
Hundreds of migrants have been arriving on Italian shores for days after they were rescued at sea when their overloaded boats run into problems.
Italian Prime Minister Matteo Renzi has urged the European Union to craft long-range, comprehensive policy on the migrants. He said one way would be to establish refugee camps in Niger, Sudan and elsewhere in Africa with UN assistance.
Italy has saved some 200,000 migrant lives at sea since the start of 2014. But Italy’s “noble, generous reaction alone isn’t enough” he said.
“We are asking Europe to be Europe, not just when it’s time to devise a budget.”
He said broad, long-term EU strategy, with wider sea patrols and a robust presence in southern Libya, would help combat “21st-century slave drivers” of migrants.
Pinotti said Italy would be ready to take the helm of any military intervention if asked and as long as it is carried out as an international mission, backed by the United Nations. “We’re ready to do our share. We’re the closest country to Libya,” she added.
The defence minister said the flow of migrants is not about to stop, saying “90 per cent are from Nigeria, Ethiopia, Somalia, from places where they are afraid of dying. We cannot stop them from leaving their homelands”.
Renzi and Pinotti indicated that requests for asylum could be processed in refugee camps in African countries near Libya. These could include Tunisia, Niger and Sudan. Italy’s defence minister said that it would then be up to all EU countries to take their share of migrants found eligible for refugee status or asylum.
Because Italy is the first EU country the migrants set foot in, they stay in reception centres, sometimes for years, while their requests for asylum are processed. Migrants deemed ineligible for asylum are ordered to leave, but many slip away and head to northern Europe to reach relatives.
Meanwhile, David Cameron said last night he is ready to commit British resources to a strengthened search and rescue operation in the Mediterranean. The Prime Minister – who is breaking off from the election campaign to attend the emergency summit in Brussels – said he would be pressing for a “comprehensive approach” to the problem.
Earlier, Boris Johnson said British special forces should be sent into Libya to lead Europe-wide action to tackle the smugglers. The mayor of London insisted action was required to “choke off the problem at source” to stop migrants being put on to unseaworthy vessels to travel across the Mediterranean Sea from north Africa.
He said a concerted response was required to deal with the “ruthless” smugglers who are “sending people to their deaths in the Mediterranean”.
Johnson’s comments came as experts warned that up to 30,000 migrants, including 2,500 children, could be killed this year unless the crisis is tackled.
The death toll from capsizing disasters stands at 1,727 so far this year – 30 times higher than the 56 fatalities by April 21 last year, according to the International Organisation for Migration (IOM). At that rate the total for this year could reach 30,000.
Asked what action Britain should take Johnson told his LBC Radio phone-in: “The first thing to do is to stop the people who are trafficking in human lives and I think sending over a warship – or whatever we’re going to do – is entirely right.
“Myself, I’d like to see a real commitment to getting to grips with these people.”
“I think it needs a concerted European response and I know the Prime Minister is going to discuss that and propose some British ideas tomorrow.”
FRENCH VERSION
Italien de la défense que ministre Roberta Pinotti dit camps doitêtre configuré dans les pays limitrophes de la Libye et lescontrebandiers doivent être ciblées avec l’intervention militaire.
Pinotti a déclaré: “nous savons où les contrebandiers garder leursbateaux, où ils se rassemblent. Les plans d’intervention militairesont là. »
Elle s’exprimait avant un sommet d’urgence des dirigeants del’UE aujourd’hui à Bruxelles, appelé à la suite d’un naufrage au large de la Libye le week-end dernier que les autorités croientpourrait avoir tué plus de 800 migrants.
Dans la dernière arrivée des migrants, un navire de la marineitaliens à quai dans le port sicilien d’Augusta, avec 446 personnesà bord qui avait été sauvé de bateau d’un passeur mardi.
Des centaines de migrants sont arrivés sur les côtes italiennespendant jours après que qu’ils ont été secourus en mer lorsqueleur embarcation surchargée de rencontrer des problèmes.
Président du Conseil italien Matteo Renzi a exhorté l’Unioneuropéenne de l’artisanat à longue distance, complète lapolitique sur les migrants. Une solution consisterait à établir descamps de réfugiés au Niger, Soudan et ailleurs en Afrique, avecl’assistance des Nations Unies, dit-il.
Italie a sauvé des vies 200 000 migrants en mer depuis le débutde 2014. Mais de l’Italie « noble, généreuse réaction seule nesuffit pas », dit-il.
« Nous demandons Europe soit l’Europe, ne pas seulementquand il est temps d’élaborer un budget. »
Il a dit large et à long terme de stratégie de l’UE, avec mer plus large des patrouilles et une forte présence en Libye méridionale,aiderait combats « du 21e siècle esclavagistes » des migrants.
Pinotti a déclaré Qu’italie serait prêt à prendre la direction detoute intervention militaire si demandé et tant qu’il est exécutédans une mission internationale, soutenue par les Nations Unies.« Nous sommes prêts à faire notre part. Nous sommes le pays le plus proche à la Libye”, a-t-elle ajouté.
Le ministre de la défense, a déclaré que le flux des migrants n’estpas sur le point d’arrêter, disant: “90 % proviennent du Nigeria,Ethiopie, Somalie, des endroits où ils ont peur de mourir. Nousne pouvons pas les empêcher de quitter leurs pays d’origine ».
Renzi et Pinotti a indiqué que les demandes d’asile pourraientêtre traitées dans des camps de réfugiés dans des pays africains,près de la Libye. Ceux-ci pourraient inclure Tunisie, Niger et au Soudan. Ministre de la défense de l’Italie a déclaré qu’ilappartiendrait ensuite tous les pays de l’UE à prendre leur partdes migrants jugé admissible pour le statut de réfugié ou d’asile.
Parce que l’Italie est le premier pays de l’UE que les migrantsfoulés, ils restent dans les centres d’accueil, parfois pendant desannées, alors que leurs demandes d’asile sont traitées. Migrantsdéclarées inéligibles d’asile sont sommées de quitter, maisbeaucoup éclipser et dirigez-vous vers le nord de l’Europe pourrejoindre des parents.
Pendant ce temps, David Cameron a dit hier soir qu’il est prêt àengager des ressources britanniques à une opération derecherche et de sauvetage renforcée en Méditerranée. Le premierministre, qui se brise au large de la campagne électorale pourassister au sommet d’urgence à Bruxelles – dit qu’il devrait fairepression pour une « approche globale » du problème.
Plus tôt, Boris Johnson a dit que britannique forces spécialesdoivent être envoyés en Libye pour mener l’action à l’échelle européenne pour lutter contre les trafiquants. Le maire deLondres a insisté action était nécessaire pour « étouffer leproblème à la source » d’arrêter les migrants mises aux naviresde naviguer à traverser la mer Méditerranée, d’Afrique du Nord.
Une réponse concertée, il devait traiter avec les passeurs « impitoyables » qui sont « envoyer des gens à leur mort dans larégion méditerranéenne », dit-il.
Commentaires de Johnson est venu que les experts ont avertique jusqu’à 30 000 migrants, dont 2 500 enfants, pouvaient êtretués cette année à moins que la crise est envisagée.
Le nombre de victimes de catastrophes de chavirement s’élève à1 727 jusqu’ici cette année – 30 fois plus élevé que les 56victimes avant le 21 avril de l’an dernier, selon l’Organisationinternationale pour les migrations (OIM). A ce taux total pourcette année pourrait atteindre 30 000.
« Moi-même, je voudrais voir un véritable engagement às’attaquer à ces gens. »
« Je pense qu’il faut une réponse européenne concertée et je saisque le premier ministre va discuter et proposer quelques idéesbritanniques de demain. »
