UN says South Sudan conflict
includes child kidnappings, rapes and
causes humanitarian crisis
The United Nations mission to South Sudan has received credible reports of kidnappings of boys as young as 10 and the rape and abduction of girls and women amid killings in a northern region that the U.N. and aid agencies had to abandon because of the danger.
The fighting in Unity state between government troops and rebels brought the International Rescue Committee to announce Tuesday that it has withdrawn from the area, leaving 35,000 displaced South Sudanese without the food, water and health care that it provided.
The violence has forced the U.N. and other aid agencies to withdraw staff.
Numerous towns and villages in Guit and Koch counties in Unity state have been reportedly burned amid killings there, the U.N. mission said late Monday.
It is not clear who committed such atrocities, said the U.N. mission which emphasized that the government and all parties must ensure that all civilians are protected and that combatants are controlled so they don’t target civilians.
Some 100,000 people have been displaced from their homes in the region, said the U.N.
South Sudan, which became independent in 2011, descended into conflict in mid-December 2013 when troops loyal to former vice president Riek Machar clashed with those loyal to President Salva Kiir. The fighting followed months of political tension between the two leaders.
As the humanitarian situation worsens in the world’s newest country, relief organizations worry that a bill passed by parliament on Tuesday could restrict their work. The measure, which passed unanimously, would require international aid agencies, civic organizations and volunteer groups to employ South Sudanese in 80 percent of staff positions. Aid groups say they struggle to find qualified local staff in a country with only a 27 percent adult literacy rate.
“We are deeply concerned that this bill may make it more difficult for NGOs to do our work,” said Zlatko Gegic, country director for Oxfam South Sudan.
South Sudan’s government says the non-governmental organizations need to be regulated. The bill goes to South Sudan’s President Salva Kiir to be signed into law.
FRENCH VERSION
inclut l’enfant enlèvements, viols et
causes de la crise humanitaire
La mission des Nations Unies au Sud-Soudan a reçu desinformations crédibles d’enlèvements des garçons âgés de 10 etque le viol et l’enlèvement des filles et des femmes au milieu desmeurtres dans une région du Nord que les agences de l’ONU etde l’aide avaient dû abandonner en raison du danger.
Les combats dans l’état de l’unité entre les troupesgouvernementales et les rebelles a apporté l’International RescueCommittee d’annoncer mardi qu’il a retiré de la zone, laissant 35000 déplacement soudanais du Sud sans la nourriture, l’eau et lasanté qu’il a fournis.
La violence a contraint les Nations Unies et autres organismesd’aide à retirer le personnel.
Nombreuses villes et villages dans les comtés de Guit et Kochdans l’unité en état auraient été brûlés au milieu des massacres,la mission de l’ONU, a déclaré lundi en fin.
On ne sait ne pas qui a commis ces atrocités, a déclaré la missionde l’ONU qui a souligné que le gouvernement et toutes lesparties doivent s’assurer que tous les civils soient protégés et queles combattants sont contrôlés afin qu’ils ne ciblent des civils.
Environ 100 000 personnes ont été déplacées de leurs foyersdans la région, a déclaré l’ONU.
Sud-Soudan, qui est devenu indépendant en 2011, est descenduen conflit dans le milieu de décembre 2013, quand les troupesfidèles à l’ancien vice-président Riek Machar se sont heurtés àceux fidèles au Président Salva Kiir. Les combats suivirent desmois de tension politique entre les deux dirigeants.
Que la situation humanitaire s’aggrave dans les plus récent paysdu monde, secours organisations s’inquiéter qu’une loi adoptéepar le Parlement mardi pourrait limiter leur travail. Cette mesure,qui a adopté à l’unanimité, nécessiterait des organismes d’aideinternationaux, des organisations civiques et des groupes debénévoles d’employer des sud-soudanais dans 80 % des postes.Aide groupes disent qu’ils peinent à trouver du personnel localqualifié dans un pays où seulement un taux d’alphabétisation de27 pour cent.
« Nous sommes profondément inquiets que ce projet de loipourrait rendre plus difficile pour les ONG à faire notre travail, » a déclaré Zlatko Gegic, directrice de pays pour le Soudan du SudOxfam.
Gouvernement du Sud–Soudan dit que les organisations non gouvernementales doivent être réglementés. Le projet de loi vaau Président Salva Kiir Sud-Soudan à être promulguée.