About 1,000 protesters chant slogans calling for social justice and condemning institutional racism in Israel.
About 1,000 Israeli Ethiopian Jews have held a rally in Tel Aviv to protest against institutional racism in Israeli society.
Monday night’s march passed without incident under the watch of dozens of security officers, a police spokesman said.
Demonstrators chanted slogans demanding “social justice” and “the arrest of racist police”.
Ethiopian Jews in Israel have staged several rallies against alleged police brutality and racism in recent weeks, and some gatherings have turned violent as they clashed with security forces.
Earlier this month, a video of two police officers beating a black Israeli soldier sparked a massive protest by Ethiopian Jews, also in Tel Aviv.
The protest on May 4 drew thousands of demonstrators decrying racism and police brutality.
Although the protest began peacefully, violence erupted as police deployed stun grenades and water cannon in an attempt to disperse the crowds.
Dozens of people were injured, including a number of police officers.
Following the May 4 protest, Benjamin Netanyahu, the Israeli prime minister, told the Ethiopian Jewish soldier who was beaten by police that racism “won’t be tolerated” in Israel.
Discrimination and poverty
Israel has about 135,500 Jewish Israelis of Ethiopian descent, including more than 50,000 born inside the country.
Tens of thousands of Ethiopian Jews affected by famine were airlifted to Israel in the 1980s and 1990s after a rabbinical ruling that they were direct descendants of the biblical Jewish Dan tribe.
The community, which includes many born in Israel, has long complained of discrimination, racism and lack of money.
More than half of the Ethiopians in Israel live in poverty and only half graduate from high school.
In 2013, Israel admitted to forcibly administering birth control injections to Ethiopian Jewish women without their consent or knowledge.
The Israeli government is frequently accused of racism for deporting African migrants.
Netanyahu has said that he is forming a government ministerial committee that will look at ending racism in the country.
Source: Al Jazeera And AFP
FRENCH VERSION
Les Juifs éthiopiens en Israël ont organisé plusieursmanifestations contre la brutalité policière présumé et le racismedans les dernières semaines [AFP]
Mars de lundi soir est déroulée sans incident sous la surveillancede plusieurs dizaines d’agents de sécurité, a déclaré un porte-parole de la police.
Des manifestants ont scandé des slogans exigeant « justicesociale » et « l’arrestation de police raciste ».
Les Juifs éthiopiens en Israël ont organisé plusieursmanifestations contre la brutalité policière présumé et le racismeau cours des dernières semaines, et certains rassemblements onttourné à la violence comme ils se sont heurtés aux forces desécurité.
Plus tôt ce mois-ci, une vidéo de deux agents de police, battantd’un soldat israélien noir a suscité une protestation massive deJuifs éthiopiens, également à Tel-Aviv.
La protestation le 4 mai a attiré des milliers de manifestantsdénonçant la brutalité de racisme et de la police.
Bien que la manifestation a commencé pacifiquement, desviolences ont éclaté comme police déployés stun grenades etcanons à eau pour tenter de disperser la foule.
Des dizaines de personnes ont été blessées, dont un certain nombre de policiers.
Suite à la protestation le 4 mai, Benjamin Netanyahu, le premierministre israélien, a dit le soldat juif éthiopien qui a été battu parla police que le racisme « ne sera pas toléré » en Israël.
La discrimination et la pauvreté
Israël a environ 135 500 Juifs israéliens d’origine éthiopienne,dont plus de 50 000, né à l’intérieur du pays.
Des dizaines de milliers de Juifs éthiopiens, touchées par lafamine ont été transportés en Israël, dans les années 1980 et1990, après une décision rabbinique qu’ils étaient lesdescendants directs de la tribu de Dan juif biblique.
La Communauté, qui comprend de nombreuses né en Israël, s’est plaint depuis longtemps de discrimination, de racisme et demanque d’argent.
Plus de la moitié des Éthiopiens en Israël vivent dans la pauvretéet la moitié seulement diplômé de l’école secondaire.
En 2013, Israël admis à l’administration par la force des injectionsde contraception aux femmes juives éthiopiennes sans leurconsentement.
Le gouvernement israélien est fréquemment accusé de racismed’expulsion des migrants africains.
Netanyahu a dit qu’il se forme un Comité ministériel degouvernement qui cherchera à mettre fin au racisme dans lepays.