Democratic Republic of Congo President Joseph Kabila called for a “national dialogue” to discuss creating an environment that will enable peaceful elections set to take place through 2016.

The Congolese electoral commission, the government, political parties, civil society groups and donors “all have a role in ensuring the proper execution of our electoral mandate,” Communication Minister Lambert Mende said Tuesday in an e-mailed statement.

“An active dialogue among these groups has been proposed by our government, and is being pursued at this time,” Mende said.

 More than 30 people died in January protests in Africa’s biggest copper-producing nation against a new electoral law that the opposition said could have allowed Kabila to extend his final term. The law was eventually amended by parliament.

The Independent National Electoral Commission published a calendar in February that called for a cycle of local and provincial elections beginning in October and continuing through March 2016.

Elections for president and the national assembly are scheduled for November 27 next year, according to the calendar. The total cost of the polls will exceed $1.1 billion, according to the electoral commission.

Leaders of several opposition parties rejected the government’s proposal and said it was an excuse to postpone the elections, in a statement e-mailed Tuesday.

The electoral schedule is “unrealistic” and the government should postpone local elections until after the national votes in 2016, said the leaders, including Jean Lucien Bussa, former head of the Movement for the Liberation of Congo, and Vital Kamerhe, who finished third in the 2011 presidential poll.

FRENCH VERSION

République du Congo démocratique le Président Joseph Kabila aappelé à un « dialogue national » pour discuter de créer unenvironnement qui permettra aux pacifiques élections devraitpour avoir lieu jusqu’en 2016.

La commission électorale congolaise, le gouvernement, les partispolitiques, les groupes de la société civile et les donateurs « onttous un rôle pour assurer la bonne exécution de notre mandatélectoral, » ministre de la Communication Lambert Mende a déclaré mardi dans un communiqué envoyé par courrier électronique.

« Un dialogue actif entre ces groupes a été proposé par notregouvernement et se poursuit en ce moment », a déclaré leMende.

Plus de 30 personnes sont mortes dans les manifestations dejanvier dans la plus grande nation de producteurs de cuivred’Afrique contre une nouvelle loi électorale que l’opposition a déclaré aurait pu permettre à Kabila d’étendre son derniermandat. Finalement, la loi a été modifiée par le Parlement.

La Commission électorale nationale indépendante a publié uncalendrier en février qui a appelé à un cycle d’élections locales etprovinciales commençant en octobre et se poursuivant jusqu’enmars 2016.

Élections pour le Président et l’Assemblée nationale sont prévuespour le 27 novembre prochain, selon le calendrier. Le coût totaldu scrutin dépassera $ 1,1 milliards, selon la commissionélectorale.

Les dirigeants de plusieurs partis d’opposition a rejeté laproposition du gouvernement et dit que c’était une excuse pourreporter les élections, dans un communiqué envoyé par courrier électronique mardi.

Le calendrier électoral est « irréaliste » et le gouvernementdevrait reporter les élections locales jusqu’à ce que, après lesvotes nationaux en 2016, a déclaré les dirigeants, y compris Jean Lucien Bussa, ancien chef du mouvement pour la libération duCongo et Vital Kamerhe, qui a terminé troisième dans le scrutinprésidentiel de 2011.