The International Monetary Fund said on Thursday Kenya’s economy was seen expanding by around 6.5 per cent this year, rather than its earlier forecast of 6.9 per cent.
East Africa’s biggest economy has struggled with a number of challenges in the past year, including attacks blamed on Somalia’s al Shabaab militants that have scared away tourists, and periodic droughts that have reduced farm output.
Kenya’s economy grew by 5.3 per cent in 2014 from 5.7 per cent a year earlier, hurt by a slowdown in tourism and farm output.
“Kenya’s economy remains resilient in the face of headwinds, with real GDP projected to grow by around 6-1/2 per cent in 2015, supported by rising infrastructure investments, lower energy prices, and a dynamic private investment environment,” Mauro Mecagni, head of an IMF team visiting Kenya said in a statement.
The 2014/15 budget had a deficit of 7.4 per cent of GDP, and in 2015/16, the National Treasury’s Budgetary policy statement for February targets a budget deficit of 8.2 per cent of GDP.
“The mission urged the authorities to boost efforts to mobilize domestic revenue and restrain current spending, so as to preserve room for critical priorities, notably closing infrastructure gaps, supporting an orderly devolution process, and strengthening the social safety net,” Mecagni said.
Mecagni did not say why the IMF trimmed its forecast.
Kenya’s fiscal deficits were seen rising above targets in both the 2014/15 (July-June) and 2015/16 fiscal years, he said.
FRENCH VERSION
Plus grande économie d’Afrique de l’est a lutté avec un certain nombre de défis dans l’année écoulée, y compris des attaquesimputés à des militants d’al Shabaab en Somalie qui ont effrayéles touristes et les sécheresses périodiques qui ont réduit laproduction agricole.
Économie du Kenya a augmenté de 5,3 % en 2014 de 5,7 % un anplus tôt, blessé par un ralentissement de la productiontouristique et agricole.
“L’économie du Kenya reste résiliente face aux vents contraires,avec le PIB réel devrait pour croître d’environ 6-1/2 % en 2015,soutenu par la hausse des investissements infrastructurels, baissedes prix de l’énergie et un environnement dynamiqued’investissements privés,” Mauro Mecagni, chef d’une équiped’IMF visite au Kenya a déclaré dans un communiqué.
Le budget 2014/15 avait un déficit de 7,4 % du PIB, et en2015/2016, énoncé de politique budgétaire de la trésorerienationale pour février vise un déficit budgétaire de 8,2 % du PIB.
“La mission a exhorté les autorités à renforcer les efforts visant àmobiliser des recettes intérieures et réduction des dépensesactuelles, afin de préserver la colocation de priorités stratégiques,notamment fermeture des lacunes de l’infrastructure, soutenir unprocessus de dévolution ordonnée et renforcer le filet de sécuritésociale,” a déclaré Mecagni.
Mecagni n’a pas dit pourquoi le FMI garnis de ses prévisions.
Les déficits budgétaires du Kenya ont été vus s’élevant au-dessusdes objectifs en 2014/15 (juillet-juin) et en 2015/16 exercices, dit-il.
