Nigeria’s fuel marketers, who are still not importing due to money owed them, have agreed to distribute fuel brought in by the state oil company, the main trade body said on Saturday, after talking with the new administration on Friday.
Major cities are still suffering from gasoline shortages despite the end of a fuel distribution strike.
After the negotiation on Friday, fuel will become available not just at state-owned retail stations but those owned by major and independent marketers to reduce the queues of double-parked cars.
The dispute over subsidy payments brought much of Nigeria to a standstill in May, as it relies almost wholly on imports.
“At the moment we are unable to import because we don’t have the support from the banks,” Olawore told Reuters.
Olawore said MOMAN had contact with President Muhammadu Buhari’s new government and was optimistic that payments of around $1.5bn promised in writing by the outgoing administration will be honoured.
A spokesman for the presidency said he could not immediately comment. Buhari’s new cabinet is unlikely to be inaugurated before the end of July.
Suppliers, dependent on subsidies, refused to distribute fuel for several weeks in May, over fears that if they were not paid under the old government that the cash-strapped new one would not be able to foot the bill and would scrutinize the costly subsidy payments that were the source of a $6.8 billion fraud scandal in 2012.
Electricity output was nearly halved and private generators that produce most of the electricity for the nation’s 170 million inhabitants ran out of diesel, days before Buhari’s inauguration as the new president on May 29.
Africa’s largest telecoms operator, MTN Group, said operations at its Nigerian services had been hampered despite the end of a fuel strike.
Nigeria must import nearly all of the 40 million litres per day of gasoline it consumes as its refineries have been either halted or operating well below 50 percent capacity since last year.
FRENCH VERSION
Grandes villes continuent de souffrir de pénuries d’essencemalgré la fin d’une grève de distribution de carburant.
Après la négociation vendredi, carburant deviendra disponiblenon seulement sur les stations de détail appartenant à l’État, maisceux qui sont détenus par des marketers, majeurs etindépendants de réduire les files d’attente des voitures garées.
Le différend au sujet des paiements de subvention apportant unegrande partie du Nigéria à l’arrêt en mai, car il repose presqueentièrement sur les importations.
Nigeria dépend désormais entièrement échangeant son brutpour les importations de combustibles, Obafemi Olawore, porte-parole pour grands Marketers Association du Nigéria (MOMAN),comme ceux qui attendent des paiements de subvention sontincapables d’obtenir des prêts commerciaux d’apporter denouvelles livraisons.
“Pour l’instant que nous ne pouvons pas importer car nousn’avons pas le soutien des banques,” Issa a déclaré à Reuters.
Issa dit MOMAN ont été en contact avec le nouveaugouvernement du Président Muhammadu Buhari et optimisteque les paiements de près de $1 milliards promis par écrit par legouvernement sortant seront honorés.
Un porte-parole de la présidence a déclaré qu’il ne pouvait pascommenter immédiatement. Nouveau cabinet de m. Buhari estpeu susceptible d’être inauguré avant la fin de juillet.
Fournisseurs, dépendant de subventions, a refusé de distribuer lecarburant pendant plusieurs semaines en mai, plus craint que sielles n’étaient pas payés sous l’ancien gouvernement que celui-cicourt d’argent ne serait pas en mesure de payer la facture etdevrait examiner les paiements de subvention coûteuse quiétaient à l’origine d’un scandale de fraude de $ 6,8 milliards en2012.
Production d’électricité était presque coupés en deux et privésdes générateurs qui produisent la plus grande partie del’électricité pour les 170 millions habitants du pays a manqué dediesel, jours avant l’inauguration de Buhari comme nouveauprésident le 29 mai.
Plus grand opérateur de télécommunications de l’Afrique, MTNGroup, a déclaré opérations à ses services nigérians avaient étéentravées malgré la fin d’une grève de carburant.
Nigeria doit importer la quasi-totalité des 40 millions de litres parjour d’essence qu’il consomme car ses raffineries ont été soitinterrompus ou bien au-dessous de 50 pour cent la capacité defonctionnement depuis l’an dernier.