Drawing inspiration from the Seattle Art Museum’s celebrated African collection, Disguise: Masks and Global African Art (opening June 18, 2015) is a groundbreaking exhibition that celebrates 21st-century evolutions of the mask and explores contemporary forms of disguise. In honor of this innovative collection SAM is throwing a party on June 19 featuring the creativity and beauty of African art, culture, music and dance during Night of Disguise. Six artists featured in this exhibition will be present at the celebration.
“In this era of innovation, when digital culture is upending our visual framework, artists are reinventing form in an ever-expanding choice of mediums,” says Kimerly Rorschach, Illsley Ball Nordstrom Director and CEO. “With Disguise: Masks and Global African Art, the Seattle Art Museum’s important collection of masks has become a catalyst for artists, encouraging them to present fresh visions of masquerade and the shared instinct to hide from ourselves and from each other.” Over the past two years, Seattle Art Museum’s Curator of African and Oceanic Art Pamela McClusky, and Consultant Curator Erika Dalya Massaquoi, have sought out contemporary artists from Africa or of African descent who are exploring the notion of disguise. “While masks were exported in vast quantities to become a signature art form representing the African continent in the 20th century, masquerades were left behind,” says McClusky. “Disguise attempts to bridge the gap between the mask observed in isolation and the masquerade experienced as a catalyst.” Disguise is more than an exhibition—it is a bold move to bring the masquerade into the museum, and the museum’s renowned collection of African masks to life. Organized by SAM, Disguise will travel to the Fowler Museum at UCLA from October 18, 2015 to March 13, 2016 and to the Brooklyn Museum from April 22 to September 11, 2016 after its presentation in Seattle. “Throughout the exhibition genres are blurred,” says Massaquoi. “This blurring forces audiences to shift their attentions back and forth between multiple narratives and ways of storytelling. These alternating perspectives will hopefully raise a lot of questions for spectators: What is being told? How is it being told? From whose perspective? Museum goers are challenged to query their frames of reference.” One artist is composing a soundtrack to set a base pulse. Performance commissions are prominent in the exhibition, showcasing disguises being enacted in city streets, in forests, and in museum galleries. Two women have enacted and documented their own masquerades in Nigeria. Several artists are coming to Seattle to install their contributions—one will unleash a herd of fake animals wearing fake masks, while another will stage the visit of a new species, come to impart wisdom about human and animal relations. FRENCH VERSION
S’inspirant de le Seattle Art Museum du célèbre collectionafricaine, déguisement : masques et Global de l’Art africain(ouverture 18 juin 2015) est une exposition qui célèbre lesévolutions du 21e siècle du masque et explore les formescontemporaines de déguisement. En l’honneur de cettecollection novatrice SAM jette une partie le 19 juin avec lacréativité et la beauté de l’art africain, de la culture, de musiqueet de danse au cours de la nuit de déguisement. Six artistesprésentés dans cette exposition seront présents à la célébration.
« En cette ère de l’innovation, quand la culture numérique estbouleverser notre cadre visuel, artistes sont réinventer formedans un choix croissant de médiums, » dit Kimerly Rorschach,Illsley Ball Nordstrom directeur et directeur général. « Avecdéguisement : masques et Global de l’Art africain, le Seattle ArtMuseum importante collection de masques est devenu uncatalyseur pour les artistes, en les encourageant à présenter desvisions frais de mascarade et l’instinct partagée pour cacher denous-mêmes et les uns des autres. »
Au cours des deux dernières années, Seattle Art Museum duconservateur d’origine africaine et Oceanic Art Pamela McCluskyet Consultant conservatrice Erika Dalya Massaquoi, ont cherchédes artistes contemporains d’Afrique ou d’origine africaine quiexplorent l’idée du déguisement.
« Tandis que les masques ont été exportés en grandes quantitéspour devenir une forme d’art signature représentant le continentafricain au XXe siècle, mascarades ont été laissés derrière, » ditMcClusky. « Déguisement tente de combler le fossé entre lemasque observées dans l’isolement et la mascarade, vécuecomme un catalyseur. »
Déguisement est plus qu’une exposition — c’est un gesteaudacieux pour apporter la mascarade dans le Musée et lacélèbre collection de masques africains à la vie. Organisé parSAM, déguisement se rendra au Musée Fowler à l’UCLA du 18 octobre 2015 à 13 mars 2016 et le Musée de Brooklyn du 22 avrilau 11 septembre 2016 après sa présentation à Seattle.
« Tout au long de l’exposition genres sont brouillées, » ditMassaquoi. “Ce flou forces auditoires de déplacer leurs attentionsen arrière entre les récits multiples et les façons de raconter deshistoires. J’espère que ces alternant perspectives déclenchebeaucoup de questions pour les spectateurs : ce qui est dit ?Comment est elle racontée ? Dont la perspective ? Les amateursde musée sont défiés pour interroger leurs cadres de référence. »
Un artiste compose une bande originale pour définir uneimpulsion de base. Les commissions de performance sont visiblesdans l’exposition, présentant des déguisements en vigueur dansles rues de la ville, dans les forêts et dans les galeries du Musée.Deux femmes ont adopté et documenté leurs propre mascaradesau Nigeria. Plusieurs artistes sont à venir à Seattle pour installerleurs contributions — on va déclencher un troupeau de fauxanimaux portant des masques de fausses, tandis que l’autremettra en scène la visite d’une nouvelle espèce, viennent decommuniquer la sagesse sur les relations humaines et animales.
|