The Seattle coffee chain is growing strongly in all regions, with profit up 22% in its third quarter.
But for Starbucks, the choice between Africa and China is clear — the People’s Republic is its fastest-growing overseas market. Recently announced plans to open its first sub-Saharan outlet in Johannesburg look much more conservative.
Starbucks coffee has been a surprising hit with traditionally tea-loving China. The company has a bullish target to more than double its store count in the country to 3,400 by financial 2019.
In South Africa, it has just signed a 25-year exclusive partnership with local player Taste Holdings. Starbucks could do with more geographic diversification. The Americas brought in 73% of group revenue in 2014. And South Africa already has a vibrant cafe society, along with the best infrastructure and retail network on the continent.
Posh cappuccinos should go down well with the country’s growing middle class too, around 15-million households, Standard Bank data shows. But this is not yet a fully froth-friendly market. The economy is hamstrung by severe electricity shortages and the International Monetary Fund (IMF) forecasts a lacklustre 2% growth in gross domestic product this year.
Still, interest from multinationals is strong. Taste Holdings also holds the licence to roll out Domino’s Pizza, and US doughnut chain Krispy Kreme will open 31 new stores in South Africa by 2020, also working with a local partner. Then there is the notion that the nation can be a springboard into the rest of Africa.
However, it will be a while before most of the continent can afford the “Starbucks experience”. Across 11 sub-Saharan countries analysed by Standard Bank, 86% of households have an annual income below $5,500. That does not leave much financial wiggle room for $4 coffees. The pace of upward mobility looks modest. In 2030, Standard expects 75% of households to still be living on $15 a day.
Eventually, strong economic growth should generate Starbucks-sized markets around the continent and the infrastructure needed to provide uniform quality.
US President Barack Obama, currently on an official visit to Africa, has said the region has the potential to be the next centre of global economic growth. But Nairobi is not Beijing. With the exception of South Africa, it is too early to stick the kettle on.
Starbucks reported on July 23 that its third-quarter net earnings jumped 22% to $626.7m.
The coffee group announced on July 14 that it would open stores in sub-Saharan Africa for the first time next year. It has agreed a 25-year licensing deal with Taste Holdings, a South African company whose shares rose 20% on the news.
The Starbucks deal includes rights to other African countries, Taste said, without giving specifics. About half of the company’s 21,366 stores at the end of last year were run by licensees.
The IMF forecasts South Africa’s economy will grow 2% in 2015-16. It has flagged severe electricity shortages and a 25% unemployment rate as challenges.
FRENCH VERSION
Mais pour Starbucks, le choix entre l’Afrique et la Chine est clair,la République populaire est son marché outre-mer croissance laplus rapide. Récemment annoncé son intention d’ouvrir sonpremier point de vente subsaharienne en regard deJohannesburg beaucoup plus conservateur.
Café Starbucks a connu un succès étonnant avectraditionnellement épris de thé Chine. La société a un objectifhaussier à plus que doubler son nombre de magasins dans lepays à 3 400 en 2019 financière.
En Afrique du Sud, il vient de signer un partenariat exclusif de 25 ans avec joueur local Holdings de goût. Starbucks pourrait faireavec plus de diversification géographique. Les Amériquesprésentée dans 73 % des revenus du groupe en 2014. Et l’Afriquedu Sud a déjà une société dynamique de café, ainsi que lemeilleur réseau d’infrastructure et de la vente au détail sur lecontinent.
Posh cappuccino doit descendre bien avec du pays de plus en plus classe moyenne trop, environ 15 millions de ménages,montre des données Standard Bank. Mais ce n’est pas encore unmarché entièrement respectueux de l’écume. L’économie estparalysée par des pénuries sévères d’électricité, et le Fondsmonétaire International (FMI) prévoit une croissance de 2 %terne dans le produit intérieur brut cette année.
Encore, les intérêts des multinationales est forte. Goût Holdingsdétient également la licence de dérouler Pizza de Domino’s, et lachaîne américaine de beignets Krispy Kreme ouvrira 31 nouveauxmagasins en Afrique du sud d’ici à 2020, également encollaboration avec un partenaire local. Il y a l’idée que la nationpeut être un tremplin vers le reste de l’Afrique.
Toutefois, il sera un certain temps avant que la plupart ducontinent peut se permettre de « l’expérience Starbucks ». Dans11 pays subsaharienne analysés par la Standard Bank, 86 % desménages ont un revenu annuel inférieur à $ 5 500. Qui ne laissepas beaucoup de manœuvre financière pour $4 cafés. Le rythmede l’ascension sociale semble modeste. En 2030, norme prévoit que 75 % des ménages vivent encore sur 15 $ par jour.
Finalement, une croissance économique forte devrait générerdes marchés de taille Starbucks autour du continent et del’infrastructure nécessaire pour assurer une qualité uniforme.
Etats-Unis le président Barack Obama, actuellement en visiteofficielle en Afrique, a déclaré que la région a le potentiel pourêtre le prochain centre de croissance économique mondiale.Mais Nairobi n’est pas Pékin. À l’exception de l’Afrique du Sud, ilest trop tôt pour s’en tenir sur la bouilloire.
Le 23 juillet, Starbucks a signalé que son bénéfice net autroisième trimestre ont bondi de 22 % à 626 $. 7m.
Le 14 juillet, le groupe café a annoncé qu’il ouvrirait desmagasins en Afrique subsaharienne pour la première fois l’annéeprochaine. Il a accepté un accord de licence de 25 ans avec goûtHoldings, une société sud-africaine, dont les actions ont augmenté de 20 % sur les nouvelles.
L’accord de Starbucks comprend droits dans d’autres paysafricains, goût, a déclaré, sans donner de détails. Environ lamoitié des magasins 21 366 de la société à la fin de l’annéedernière ont été exécutée par les titulaires.
L’économie de l’Afrique du Sud IMF prévisions augmentera de 2 % en 2015-2016. Il a signalé des pénuries d’électricité sévère etun taux de chômage de 25 % comme défis.
