Trucks with anti-aircraft cannon, troops and cement roadblocks protect the five-star hotel in Tobruk that is now the last bastion of Libya’s fugitive parliament, Al Arabiya reported.
Holed up in the Dar al-Salam seaside resort and pretending that all is normal, elected legislators debate laws and plan the future from the eastern city where they fled to last month after losing control of Tripoli and much of the country.
A thousand kilometers away across the desert in the capital, a rival parliament sits, internationally unrecognized and made up of members of an earlier assembly whose mandate has expired. It is making its own decisions, taking over ministries and staking a competing claim to ruling the country.
FRENCH VERSION
Camions avec canons anti-aériens, des troupes et des barrages routiers de ciment protègent l’hôtel cinq étoiles à Tobrouk qui est maintenant le dernier bastion du parlement fugitif de la Libye, Al Arabiya.
Retranchés dans la station balnéaire de Dar al-Salam et prétendant que tout est normal, les législateurs élus débattent des lois et de planifier l’avenir de la ville orientale où ils ont fui vers le mois dernier après avoir perdu le contrôle de Tripoli et la plupart des pays.
A mille kilomètres de là, à travers le désert dans la capitale, un parlement rival se trouve, non reconnu à l’échelle internationale et composée de membres d’une assemblée antérieure dont le mandat a expiré. Il fait ses propres décisions, en prenant sur les ministères et l’implantation d’une revendication concurrente à gouverner le pays.