Chuck Bednar for redOrbit.com – Your Universe Online
While tracking a Nigerian poaching ship in the South Indian Ocean in late December, members of the Sea Shepherd Conservation Society (SSCS) captured what is being called the first video footage of rare Ecotype D Orcas ever recorded.
According to Scientific American, the Australian conservationists discovered a pod of 13 Type D orcas while passing between the Crozet and Kerguelen archipelagos. The creatures are said to be so rare that they’ve only ever been seen on 13 recorded occasions, the website added.
The encounter was photographed and filmed by the crew of the SSS Bob Barker, and images of the encounter were sent to Marine Ecologist and (Antarctic) Orca expert Robert L. Pitman of the National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) Southwest Fisheries Science Center for review, the conservation society said in a statement Monday.
”The crew watched in awe as the 13 killer whales, including a small juvenile and a large male, used the six-meter swell to surf across the bow,” said chief engineer Erwin Vermeulen, who was one of the crewmembers that took pictures of the encounter. “For almost an hour the surf-show continued and was accompanied by bow riding, tail-slaps and breaches.”
After receiving the images, Pitman confirmed that it was definitely a Type D orca sighting, adding that he did not believe that they creatures – which were first identified when a pod was found stranded on a beach in New Zealand in 1955 – had ever been filmed alive before.
The NOAA divides the killer whale population into four distinct ecotypes based on their behavior, morphology and prey preference, Scientific America explained. The first three, A, B and C, are by far the most common. Type A orcas feed on minke whales and have a medium-sized eyepatch, while Type Bs feed on seals and have an eyepatch twice the size of Type As.
Type Cs feed on Antarctic toothfish, is the smallest type of orca, and have a smaller eyepatch. The rare Type Ds, however, look vastly different than the other three. They have a round, blunt head and an extremely tiny eyepatch, and the fact that they have been spotted so infrequently led scientists to initially assume that they were just an odd type of genetic mutations.
Then in 1955, a team of scientists found a pod of Type D orca remains that had washed up on a beach in Paraparaumu, New Zealand. The remains wound up in a museum in Wellington until 2010, when Pitman analyzed the remains, obtained some DNA and sequenced its genome.
That DNA revealed that Ecotype D’s genetic differences suggest that it diverged from other types of killer whales approximately 390,000 years ago, according to Sea Shepherd. This means that this ecotype is the second oldest and second most genetically divergent type of orca.
“Determining how many species of Orcas there are is critically important to establishing conservation measures and to better understand the ecological role of this apex predator in the world’s oceans,” the organization added.
FRENCH VERSION
Selon Scientific American, les défenseurs de l’environnementaustraliens a découvert un pod de 13 orques de Type D enpassant entre le Crozet et Kerguelen archipels. Les créatures sontcensés être si rare que qu’ils ont jamais été vu à 13 reprisesenregistrés, a ajouté le site.
La rencontre a été photographiée et filmée par l’équipage de laSSS Bob Barker, et images de la rencontre ont été envoyés àl’écologiste marin et (Antarctique) Orca Robert L. Pitman expertsde la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA)Southwest Fisheries Science Center pour examen, la conservationsociety a déclaré dans un communiqué lundi.
« L’équipage regardait dans la crainte que les 13 orques, y compris un petit jeune et un gros mâle, utilisé la houle de six mètres de surfer en travers de la proue, » a déclaré le chefmécanicien Erwin Vermeulen, qui fut l’un des membres del’équipage qui a pris des photos de la rencontre. « Pendantpresque une heure le surf-spectacle a continué et étaitaccompagné d’un arc d’équitation, queue-gifles et violations ».
Après avoir reçu les images, Pitman a confirmé que c’étaitcertainement un orque Type D observation, ajoutant qu’il necroyait pas qu’ils les créatures, qui furent initialementconceptualisés quand un pod a été trouvé échoués sur une plageen Nouvelle Zélande en 1955 – avaient été tournées jamais vivantdevant.
La NOAA divise la population d’orques en quatre écotypesdistincts selon les préférences de leurs proies, la morphologie et lecomportement, a expliqué le scientifique de l’Amérique. Les troispremiers, A, B et C, sont de loin les plus communs. Type A orquesse nourrissent de petits rorquals et ont un eyepatch moyennes,tandis que le Type Bs se nourrissent de phoques ont un bandeau sur le œil deux fois la taille du Type comme.
Type Cs se nourrissent de légine antarctique, est le plus petit typed’orca et ont un petit bandeau sur le œil. Le Ds de Type rare,cependant, considérablement différent que les trois autres. Ils ontune ronde, tête émoussée et un bandeau sur le œil extrêmementminuscule, et le fait qu’ils ont été repérés si rarement amené lesscientifiques à supposer au départ qu’ils étaient juste un typeétrange de mutations génétiques.
Puis en 1955, une équipe de scientifiques découvert un pod derestes d’orca Type D qui avaient échoués sur une plage àParaparaumu, Nouvelle-Zélande. Les restes liquidée dans unmusée de Wellington jusqu’en 2010, lorsque Pitman ont analyséles restes, obtenu quelques ADN et séquencer son génome.
Cet ADN a révélé que les différences génétiques de l’écotype Dsuggèrent qu’il ont divergé des autres types d’orques environ 390000 ans auparavant, selon la Sea Shepherd Conservation Society.Cela signifie que cet écotype est le deuxième plus ancien et ledeuxième type plus génétiquement divergent d’orca.
« Déterminer combien d’espèces d’Orcas il y est extrêmementimportant d’établir des mesures de conservation et pour mieuxcomprendre le rôle écologique de ce prédateur dans les océans du monde », a ajouté l’organisation.
