SA’s weak economic growth fundamentals were one of the biggest worries for existing and potential foreign investors, as well as for South African companies at the World Economic Forum in Davos last week.
In a series of meetings, President Jacob Zuma and six Cabinet ministers who joined him at Davos pre-empted concerns over SA’s power crisis and hair-trigger industrial relations by acknowledging these challenges — but emphasising SA’s plan to overcome them with the National Development Plan. They were obliged to concede, however, that SA has an “execution deficit” problem.
“I am amazed at how positive people still are about SA,” Reserve Bank governor Lesetja Kganyago said on the sidelines of the meeting.
“People have a sense that we are in charge and in control of the macroeconomic challenges we are facing and that fiscal and monetary policy are actually in sync — which is the message we said we wanted to communicate, and it has found a very good reception.”
Mr Kganyago said the team at Davos made it clear it was aware of the constraints the economy is facing: “The president very ably communicated that we have a plan … the National Development Plan.
“We are going to implement it. Our tough task ahead … is to execute it. We do have a significant implementation deficit.”
Mr Zuma and his ministers held a series of meetings at Davos with groups of South African and international executives, as well as with individual companies.
Trade and Industry Minister Rob Davies said nobody he met had raised the problems facing SA — such as energy — in an “alarmist” way. But more than one executive who attended the meetings said SA’s immigration rules were making it very difficult for multinationals to bring in the skills they needed.
Anglo American CEO Mark Cutifani, who met Mr Zuma and his team, said their engagement had focused on “real issues” and Mr Zuma had provided insight on how the company could do business in SA.
FRENCH VERSION
Dans une série de réunions, le président Jacob Zuma et sixministres qui le rejoint à Davos préempté préoccupations au cours puissance instantanée et crise des relations industrielles de SA en reconnaissant ces défis — mais mettant l’accent sur SAplan pour surmonter avec le Plan de développement National. Ilsont été obligés de l’admettre, cependant, que SA a un problèmede « déficit d’exécution ».
“Je suis étonné au gens comment positifs sont toujours sur SA, «gouverneur de la Banque de réserve Lesetja Kganyago a déclaréen marge de la réunion.
“Les gens ont un sens que nous sommes en charge et contrôledes défis macroéconomiques que nous traversons et que lapolitique budgétaire et monétaire sont effectivementsynchronisés — qui est le message que nous avons dit que nousvoulions communiquer, et il a trouvé un très bon accueil.”
M. Kganyago dit l’équipe à Davos fait précisé il est conscient descontraintes l’économie fait face à: “le Président a très habilementcommuniqués que nous avons un plan… le Plan dedéveloppement National.
“Nous allons mettre en œuvre. Notre difficile tâche à venir… estde l’exécuter. Nous avons un déficit significatif de mise en œuvre. »
M. Zuma et ses ministres qui s’est tenue une série de réunions àDavos avec des groupes de dirigeants sud-africains etinternationaux, ainsi qu’avec des entreprises individuelles.
Commerce et industrie ministre Rob Davies dit personne nerencontra a soulevé les problèmes rencontrés par SA — tels quel’énergie — dans un “alarmistes” façon. Mais plus d’un dirigeantqui a assisté aux réunions dit les règles de l’immigration de SArendaient très difficile pour les multinationales d’apporter lescompétences que dont ils ont besoin.
Anglo American CEO Mark Cutifani, qui a rencontré M. Zuma etson équipe, a déclaré leur engagement a mis l’accent sur les « vrais problèmes » et M. Zuma avait donné un aperçu surcomment la société pourrait faire des affaires en Afrique du Sud
