South Sudan’s warring parties failed to reach a breakthrough in peace talks in Ethiopia, mediators said Friday, expressing disappointment following months of discussions attempting to stop violence in the world’s newest country.
Ethiopian Prime Minister Hailemariam Desalegn said in a statement Friday that he regretted “the talks did not produce the necessary breakthrough,” adding that the failure was disappointing for mediators and observers who had tried their best to urge the warring factions to make concessions for peace.
“The consequences of inaction are the continued suffering of you, the people of South Sudan, and the prolonging of a senseless war in your country,” the statement said. “This is unacceptable, both morally and politically.”
The statement did not say whether there was another round of talks planned, but noted that mediators “remain hopeful that the promise of peace will be fulfilled in the near future.”
South Sudanese President Salva Kiir and rebel leader Riek Machar had been given a March 5 deadline to finalize issues including power sharing, but mediators extended the talks until Friday in hopes the rivals could reach an agreement.
The spokesman for the U.N. secretary-general said Ban Ki-moon expressed profound disappointment over the failure of Kiir and Machar to “display statesmanship” and reach a deal. Ban had spoken with both parties in the past two days to urge them along.
The threat of U.N. sanctions hangs over Kiir and Machar, as the U.N. Security Council this week unanimously approved the creation of a system to impose sanctions on those blocking peace in their country.
The conflict has killed tens of thousands of people since December 2013, when the armed forces in the South Sudanese capital of Juba appeared to splinter along ethnic lines. Since then, there has been sporadic violence as government forces loyal to Kiir, an ethnic Dinka, try to put down rebel forces loyal to Machar, an ethnic Nuer who used to be Kiir’s deputy before he was fired in July 2013.
The political rivalry between Kiir and Machar is widely believed to have sparked the current crisis, the reason international diplomats and observers have been calling for a political solution in the form of a unity government in South Sudan.
FRENCH VERSION
Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn a déclaré dansun communiqué vendredi qu’il regrettait « les pourparlers neproduisent pas la percée nécessaire, » ajoutant que l’échec étaitdécevant pour les médiateurs et les observateurs qui avaientessayé de leur mieux pour exhorter les parties belligérantes àfaire des concessions pour la paix.
« Les conséquences de l’inaction sont la souffrance continue devous, le peuple du Sud-Soudan et le prolongement d’une guerreinsensée dans votre pays », indique le communiqué. « C’estinacceptable, moralement et politiquement ».
L’instruction n’a pas dit s’il y a une autre série de pourparlersprévu, mais a noté que les médiateurs « restent plein d’espoirque la promesse de paix s’accompliront dans un proche avenir ».
Chef du Sud contre le président soudanais Salva Kiir et rebelleRiek Machar avait donné un délai 5 mars pour finaliser lesquestions, notamment le partage du pouvoir, mais médiateursprolongé les négociations jusqu’à vendredi dans l’espoir que lesrivaux pourraient parvenir à un accord.
Le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU que Ban Ki-moon, a exprimé la profonde déception sur l’échec de Kiir etMachar à « afficher la sagesse politique » et de parvenir à unaccord. Interdiction avait parlé avec les deux parties dans cesdeux derniers jours pour les inciter le long.
La menace de l’ONU des sanctions se bloque sur Kiir et Machar,comme le Conseil de sécurité de l’ONU cette semaine àl’unanimité la création d’un système de sanctionner ceux quibloque la paix dans leur pays.
Le conflit a tué des dizaines de milliers de personnes depuisdécembre 2013, quand les forces armées dans la capitalesoudanaise du Sud, Juba semblaient splinter selon des critèresethniques. Depuis lors, il y a eu des violences sporadiquescomme gouvernement forces loyales à Kiir, un ethnique Dinka,essaient de mettre bas les forces rebelles fidèles à Machar, unNuer ethnique qui était adjoint du Kiir avant il a été licencié enjuillet 2013.
La rivalité politique entre Kiir et Machar est censée largement ontdéclenché la crise actuelle, les diplomates internationaux deraison et les observateurs ont appelé à une solution politiquesous la forme d’un gouvernement d’Union nationale au Sud-Soudan.
