Campaigners have demanded that Spanish authorities halt the deportation of rights activist, Hassanna Aalia to Morocco over fears that he will be tortured after being sentenced over unrest in the disputed territory of Western Sahara.

On Thursday activsits urged for Aalia, 26, be granted political asylum in Spain but government authorities have turned down his request.

The rights campaigner is accused of killing members of Moroccan security forces during unrest in 2010 after authorities raided a protest in which Aalia was one of the organisers.

The protest drew tens of thousands of native Sahrawis in Western Sahara, a former Spanish colony now controlled by Morocco.

Eleven security force agents and two Sahrawi civilians died in the clashes.

Aalia has continued to deny any wrongdoing but stated that he was sentenced to life in prison in absentia by a Moroccan military court in 2013, while he was studying in Spain.

“If I go back there, I face jail for life and all kinds of torture and mistreatment,” he told AFP news agency.

Aalia said his lawyer was preparing to lodge a last-minute appeal against his deportation at Spain’s National Court.

Hunger strike 

It is not certain whether he could be deported before the appeal runs its course.

Aalia has alledged that Spain was refusing asylum in an effort to protect its economic relations with Morocco.

“This is a political case. Economic interests are being placed above all else,” he said.

His supporters have staged a five-day hunger strike at Barajas, Madrid’s airport which ended on Wednesday.

The group later handed a petition demanding asylum for the rights campaigner to the interior ministry.

The petition was signed by 150 groups including branches of the left-wing Podemos party and the leading trade union, the General Union of Workers (UGT).

The Spanish Human Rights Association warned that Spain was breaching international human rights treaties by denying Aalia asylum.

“The expulsion order could be a death sentence to this person,” it said. It accused Morocco of “repression” in the territory.

FRENCH VERSION

Les militants demandent Espagne d’accorder Hassanna Aalia,accusés d’avoir tué des membres des forces de sécuritémarocaines, asile politique.

Principalement désertique, Sahara occidental a été retranché dela décennie-long différend entre le Maroc et le seul représentantdes autochtones Sarahar, le Polisario Front. [AFP]

Les militants ont exigé que les autorités espagnoles stopperl’expulsion du défenseur des droits, Hassanna Aalia au Maroc surles craintes qu’il sera torturé après avoir été condamnés au coursde troubles dans le territoire contesté du Sahara de l’Ouest.

Jeudi activsits a exhorté pour Cynthia, 26, être accordé l’asilepolitique en Espagne, mais les autorités ont rejeté sa demande.

Le défenseur des droits est accusé d’avoir tué des membres desforces de sécurité marocaines lors de troubles en 2010 après que les autorités ont attaqué une protestation dans laquelle Malickfut l’un des organisateurs.

La manifestation a attiré des dizaines de milliers d’autochtonessahraouis au Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole,désormais contrôlée par le Maroc.

Des forces de sécurité d’onze agents et deux civils sahraouis sont morts dans les affrontements.

Cynthia a continué de nier toute malversation mais a déclaré qu’ila été condamné à la prison à perpétuité par contumace par untribunal militaire marocain en 2013, alors qu’il était étudiant enEspagne.

« Si je vais y retourner, je fais face à la prison à vie et toutessortes de tortures et de mauvais traitements », il a dit à l’Agencede presse AFP.

Malick a dit que son avocat s’apprêtait à déposer un appel dedernière minute contre son expulsion à la juridiction nationale de l’Espagne.

Grève de la faim

Il n’est pas certain de savoir si il pouvait être expulsé avant quel’appel s’exécute son cours.

Cynthia a alléguée qu’Espagne refuse d’asile dans le but deprotéger ses relations économiques avec le Maroc.

“C’est une affaire politique. Les intérêts économiques sont placésavant toute chose,”dit-il.

Ses partisans ont organisé une grève de la faim de cinq jours àBarajas, l’aéroport de Madrid qui s’est achevée mercredi.

Plus tard, le groupe a remis une pétition demandant l’asile pourle militant de droits pour le ministère de l’intérieur.

La pétition a été signée par 150 groupes, y compris lessuccursales de la parti de gauche Podemos et le principalsyndicat, l’Union générale des travailleurs (UGT).

L’Association espagnole des droits de l’homme a averti quel’Espagne contrevenait traités internationaux relatifs aux droits del’homme en refusant l’asile de malick.

« L’ordre d’expulsion pourrait être une condamnation à mort decette personne, » il dit. Il a accusé le Maroc de « répression »dans le territoire.